« Ouais mais tu as continué en me disant que tu voulais me faire plein de chose perverse comme me baiser sur la table de réunion devant tes collaborateurs »

Je lui caressais l’entrejambe tout en me mordant la lèvre inférieure. Un frisson me parcourut alors qu’il me prit le pied et le massant.

« Quelle bonne idée, je crois que je vais continuer à t’allumer dans ce cas… »

Je regardais avec un air coquin puis je me mettais à frissonner alors qu’il me caressait la jambe. J’avais carrément envie de sentir ces mains partout sur mon corps là et pas seulement ma jambe.

« Bien monsieur Darling »

Je lui adressais un sourire et je retirais bien sagement mon pied, juste à temps car le serveur arrivait déjà avec les plats. Je le remerciais alors qu’il me donnait son assiette et je me mettais à manger. Je mangeais tranquillement même si j’avais envie de me dépêcher afin de monter dans la fameuse chambre avec lui. Je mangeais dans le calme et je finis mon assiette en un temps convenable.

« Voilà j’ai terminé, on monte ? »

Je lui faisais un grand sourire avant d’éclater de rire, je le faisais exprès de faire mon impatiente et cela m’amuser.

Elle accepta ma proposition et elle enleva son pied, heureusement car le serveur revenait avec nos plats. Je le remerciais et mangeais mon plat en prenant mon temps mais la demoiselle avala son repas en un temps record et pour une fois je constatais que je n'avais pas besoin de la rappeler à l'ordre pour qu'elle mange tout, je ris légèrement en me tamponnant les lèvres.

"Je vois que le fait de te promettre de te faire l'amour t'a ouvert l'appétit et fais que tu as avalé toute ton assiette sans que j'ai besoin de te rappeler à l'ordre...."

Elle était vraiment impatiente, je terminais de manger puis me levais de table, je lui tendais la main et nous sortions du petit salon pour rejoindre les ascenseurs, nous montions rapidement dans un. Nous étions seuls, ce qui m'arrangeait bien, je me tournais alors vers elle et la plaquais contre moi, l'embrassant fougueusement, tout en posant mes mains sur ses fesses que je tripotais généreusement. Mais nous nous séparions bien rapidement alors qu'un couple montait dans l'ascenseur deux étages au dessus. Je souriais avant de sortir de l'ascenseur et de me diriger vers ma chambre avec elle. Je la laissais entrer puis fermais la porte derrière nous.

"Mets toi à l'aise, nous avons encore une petite heure devant nous..."

Je me mettais à rire quand Nate me fit sa remarque sur le fait que me promettre de faire l’amour m’avait ouvert l’appétit.

« Disons que je n’ai pas envie de perdre du temps »

Je rigolais et je le laissais finir son assiette. Je lui prenais la main quand il eut finit et nous sortions du salon privé. Je montais dans l’ascenseur avec lui et alors que les portes venaient à peine de se fermer, Nate me plaqua contre lui et je prolongeais son baiser en passant mes mains dans ces cheveux. Je gémissais légèrement alors qu’il me malaxait les fesses. Je dois dire que je ne m’y étais pas attendu mais c’était trop bien. J’avais l’impression de décoller vers mon petit nuage mais… nous étions vite rattraper par la réalité quand un couple monta dans l’ascenseur. Je restais à coté de lui, rougissant en repensant à ce qui venait de se passer. Ce couple aurait pu nous surprendre mais…. C’est ça qui est excitant ! Il était maintenant temps de quitter l’ascenseur et je suivais Nate jusqu’à la chambre où j’entrais la première. Je déposais mon sac à l’entrée et je retirais mes chaussures pour plus de confort. Je m’approchais de Nate et je venais me blottir dans ces bras afin de l’embrasser.

« Et maintenant ?... Tu as l’intention de me faire quoi ? Je suis disposé à faire tout ce que tu veux, où tu veux… »

Je le regardais et je lui retirais doucement sa veste en la faisant glisser le long de ces bras.

Je fermais la porte derrière nous puis la regardais enlever ses chaussures et poser son sac. Puis elle revint vers moi et je la prenais dans mes bras avant de prolonger son baiser.

"Et bien j'ai l'intention de te baiser pendant l'heure qui suit....."

Je me contractais alors qu'elle m'enlevait ma veste, puis je la soulevais rapidement pour éviter qu'elle ne passe ses mains sur moi, je ne supportais pas d'être touché et je n'avais pas réellement envie de me disputer avec elle. Je la jetais sur le lit avant d'enlever ma chemise moi même et mon pantalon. Je venais me placer au dessus d'elle et lui enlevais sa robe avec dextérité. Je l'embrassais à pleine bouche, me frottant à elle avant de lui enlever sa petite culotte et de la caresser, venant taquiner sa poitrine avec ma langue et mes dents. La demoiselle était plus qu'humide, je devais l'avouer.

"Tu mouilles toujours pour moi bébé....."

Je revenais l'embrasser langoureusement, baissant mon boxer, mais je lui tendais le préservatif, elle pouvait me le mettre si elle voulait, je la regardais en attendant de voir comment elle allait s'en sortir.

Je souriais en attendant sa réponse qui ne m’étonnait pas du tout. Je lui retirais sa veste mais je sentais une fois de plus qu’il se contractait et cela m’intriguer de plus en plus. Mais ce n’était pas le moment de parler de ça. Je me mettais à rire alors qu’il me soulevait pour me jeter sur le lit. Je l’observais en appréciant le spectacle alors qu’il se déshabillait. Je remarquais qu’il était aussi excité que moi vu son érection. Je me mordais la lèvre en me rinçant l’œil devant le corps de mon homme. Oui de mon homme, j’étais amoureuse et comme je l’avais rien que pour moi je considérais que c’était mon homme. Je le laissais venir me rejoindre et je me mettais à frissonner alors qu’il retirait ma robe. Je prolongeais ensuite son baiser tout en passant mes mains dans ces cheveux. Je gémissais de désir alors qu’il se frottait contre moi puis il retira ma petite culotte tout en venant taquiner ma poitrine. Je gémissais et je dois dire qu’il me rendait totalement dingue.

« Tu me fais tellement d’effet… »

Je prolongeais son baiser puis Nate me tendit le préservatif, il attendait que je lui mette. Je soupçonnais qu’il était entrain de me tester pour voir si je savais le faire. Je pinçais alors le bout et je le glissais le long de son sexe. Je profitais de l’occasion pour empoigner son sexe et faire des mouvements de vas et viens afin de l’exciter un peu plus. Il était bien dur et je dois dire que cela me procurer des sensations là. Je me mordais la lèvre tout en regardant Nate puis il vint m’embrasser et je prolongeais son baiser en jouant avec sa langue. Je me mettais à onduler des hanches, totalement impatiente de le sentir à moi.

« S’il te plait… »

Je la regardais dérouler le préservatif sur mon sexe, bien elle savait le faire et elle en profita pour me caresser, je gémissais doucement de plaisir avant de l'embrasser à pleine bouche, jouant avec sa langue puis lui mordillant la lèvre inférieure. Elle se mit alors à onduler des hanches en me suppliant, je n'attendais alors pas plus longtemps et entrais en elle. Je la pénétrais jusqu'à la garde, ne bougeant pas durant quelques secondes, appréciant d'être en elle.

"Voilà ma place préférée..."

J'avais chuchoté à son oreille avant de me mettre à bouger, je lui faisais l'amour avec sauvagerie, voulant lui donner beaucoup de plaisir. Mais je lui faisais changer de position, je la faisais mettre à quatre pattes et revenais à l'assaut, la pilonnant de plus en plus vite et de plus en plus fort à mesure qu'elle gémissait. Je lui fis alors atteindre l'orgasme avant de l'atteindre moi aussi, je la faisais se redresser et déposais de légers baisers sur son épaule avant de me retirer d'elle le plus doucement possible. J'enlevais le préservatif et faisais un noeud au bout avant de le jeter par terre, je le mettrais à la poubelle plus tard. Je la berçais doucement, posant ma tête contre son épaule et passant mes mains sur ses seins.

"Qu'est-ce que t'es bonne bébé..."

Alors que je me mettais à le supplier en ondulant des hanches, mon petit manège avait l’air de bien marcher. Je poussais un soupir de soulagement alors qu’il me pénétrait. Je me mordais la lèvre inférieure alors qu’il s’immobilisait en moi, me permettant de savourer l’instant. Je frissonnais de la tête au pied alors qu’il venait me murmurer à l’oreille que c’était sa place préférée. Nate se mit à bouger en me faisant l’amour avec sauvagerie ce qui m’arrachait une multitude de gémissement. Mais il nous fit changer de position entre temps et je me retrouvais à quatre pattes, le sentant venir plus profondément en moi. Il se remit à me pilonner et je dois dire que je n’étais plus que sensation. Je gémissais de plus en plus fort et je finis par atteindre l’orgasme en explosant autour de lui. Nate vint en moi à ce même moment puis il me fit me redresser. J’étais encore parcouru de spasmes post jouissance et je soupirais d’aise sous ces baisers sur mon épaule. Je le laissais enlever le préservatif puis il me berça doucement en posant sa tête sur mon épaule. Ces mains passaient doucement sur mes seins, j’étais vraiment bien là comme ça dans ces bras et j’esquissais un sourire à sa remarque.

« Tu ne regrette pas d’avoir déjeuné avec moi ?... »

Je rigolais légèrement et je m’allongeais dans le lit, me tournant vers lui pour le regarder en souriant. Je lui faisais signe d’approcher et je passais mes bras autour de son cou pour l’embrasser langoureusement, me mettant à jouer avec sa langue.

« Des pauses déjeuné comme ça, j’en veux bien tous les jours… »

"Non je ne regrette pas le moins du monde cette petite pause déjeuner..... Et toi?"

Je la laissais s'allonger sur le lit avant de m'allonger moi aussi, mais elle se tourna vers moi et passa ses bras autour de mon cou. Je prolongeais son baiser tout en passant mes mains sur elle avec douceur.

"Sauf que moi je ne peux pas faire ça tous les jours, j'ai des repas d'affaires jeune fille..."

Je l'embrassais dans le cou, lui faisant passer sa jambe au dessus des miennes et me collant un peu plus à elle. Mais lorsqu'elle me toucha le torse, je reculais et me redressais en position assise sur le lit, me dépêchant d'enfiler mon boxer et mon pantalon. Mon regard s'était fait plus dur et j'avais serré les mâchoires, je n'aimais pas du tout que l'on me touche. Je me levais et remettais ma chemise, j'avais du boulot et je m'en voulais d'avoir été aussi faible, c'était moi le dominant et je n'avais pas à courir parce que mademoiselle avait envie de baiser! Je renfilais ma veste et m'asseyais au bout du lit.

"Tu ferais mieux de te rhabiller si tu ne veux pas être en retard..."

« Je ne regrette pas du tout… »

Je m’allongeais avec Nate dans le lit et je frissonnais doucement sous le passage de ces mains sur mon corps. Je rigolais légèrement quand j’entendis sa réponse et je soupirais d’aise alors qu’il déposait des baisers sur mon cou.

« Dommage… »

Je passais mes jambes au dessus des siennes et je me mordais doucement la lèvre alors qu’il se collait à moi. Je laissais glisser mes mains le long de son cou pour atteindre son torse. Mais tout à coup, Nate se redressa sans que j’ai eu le temps de comprendre quoique ce soit. Je me redressais et je le regardais se rhabiller subitement tout en faisant revenir la couette sur moi. Il finit par se lever pour enfiler sa chemise et c’est alors que je vis que son regard était devenu très dur. Je ne comprenais pas ce que j’avais fait et je me sentais tout à coup totalement idiote. Il finit par se rasseoir au bout du lit et sèchement il me dit de me rhabiller si je ne voulais pas être en retard. Je l’esquivais en me levant et je me rhabillais sans un mot, j’étais vraiment dégouter que notre moment se termine comme ça alors que tout avait si bien commencé. Je ne comprenais pas sa réaction soudaine mais vu la tête qu’il faisait, je n’avais envie de lui poser des questions de peur d’envenimer les choses.

« Voilà, je suis prête… »

J’avais parlé avec une petite voix et j’avais baissé la tête. Je n’étais pas à l’aise maintenant que la situation avait changé.

Je la laissais se rhabiller avant de me lever lorsqu'elle me dit qu'elle était prête. Je me tournais vers elle et lui tendais la main, je l'attirais contre moi puis nous sortions de la chambre pour prendre l'ascenseur. Elle restait silencieuse et je sentais bien que je l'avais un peu blessée mais moi je souffrais d'avoir été touché, je détestais cela, pas même ma propre mère pouvait me toucher. Une fois en bas, nous nous dirigions vers la voiture et nous reprenions le chemin de son travail. Mon chauffeur se gara le long du trottoir et je descendais rapidement pour lui ouvrir sa portière, mais alors qu'elle s'éloignait de moi, je la rattrapais par le bras et l'attirais à moi. Je l'embrassais langoureusement, la faisant doucement se pencher en arrière, jouant avec sa langue. Je la relâchais ensuite, la regardant dans les yeux avec une lueur d'envie dans le regard.

"Tu as assuré bébé..... Je passe te prendre demain à 13 heures, je te réserve une surprise...."

J'avais l'intention de lui offrir une voiture, une audi a5 cabriolet pour lui faire plaisir, c'était la voiture spéciale soumise mais ça elle n'avait pas besoin de le savoir et puis j'allais la traîner dans les magasins pour qu'elle s'achète ce qu'elle voulait.

"Peut-être même que je viendrais ce soir chez toi si j'arrive à expédier mes rendez-vous plus vite..."

Je tentais de me rattraper pour tout à l'heure après tout elle ne savait pas que je n'aimais pas être touché.

Nate se leva quand j’eus fini de m’habiller et il me prit par la main pour sortir. Je restais silencieuse après ce qu’il venait de se passer, tout c’était passer si vite et j’étais un peu perdue. De plus, sa manière de réagir m’a un peu blessé car il m’a laissé du coup et je me suis retrouvé là comme une idiote. Je ne savais pas pourquoi il avait réagit comme ça subitement mais si il ne me disait rien, je ne pouvais pas le deviner. Je ne disais rien dans l’ascenseur ni dans la voiture, je me contentais de regarder par la fenêtre. La voiture se gara devant l’immeuble où je travaille et Nate vint m’ouvrir la portière. Je sortais de la voiture et je m’éloignais de lui sans un mot après ce qu’il s’est passé, il avait surement hâte que je retourne travailler. Mais soudain, Nate me rattrapa par le bras et je me retrouvais dans ces bras. Je fus étonné par ce changement de situation et je prolongeais tout de même son baiser, cela me rassura un peu. Je plongeais ensuite mon regard dans le sien et j’esquissais enfin un sourire à l’écoutant.

« Une surprise ? J’ai hâte d’être à demain alors »

Décidément il changeait de comportement comme de chemise. J’avais du mal à le suivre mais là il avait l’air plus doux, c’était vraiment mieux. Je me demandais ce qu’il avait en tête comme surprise mais je verrais bien moi-même demain.

« Ça serait bien si tu pouvais mais tu ne préférais pas que je viennes chez toi ? Là dernière fois, tu m’avais dit que tu aurais plus de chose pour t’amuser chez toi »

Je le regardais et je l’embrassais à nouveau avec tendresse, j’étais contente que tout ce soit apaisé entre nous.

« Je vais devoir y aller, je n’ai pas envie d’être en retard. Je t'envois des mails »

Je lui volais un baiser et je rentrais dans l’immeuble prenant l’ascenseur pour regagner mon bureau. Heureusement que la jeune femme de l’accueil ne m’avait pas vu avec Nate enfin j’espère.
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De : Evelyn Valentine
Objet : Pause déjeuner
Date : 6 mai 2013 14:12
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

J’étais contente d'avoir pu te voir ce midi. J’étais bien dans tes bras même si ça c’est fini brusquement.
Désolé de revenir la dessus mais je n’ai pas compris ta réaction si soudaine. J’ai fait quelque chose de mal ou dit quelque chose de mal ?

bisous

Evy

Evelyn Valentine
Journaliste, MODE Magazine
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"Ne t'en fais pas pour ça, je prendrais ce qu'il faut pour qu'on puisse s'amuser et puis rappelle toi que la salle de jeux ce n'est que le week end..."

Je prolongeais son baiser puis la laissais partir travailler, de mon côté je retournais aussi au bureau. Je m'installais et travaillais un peu quand mon ordinateur bippa, j'avais un mail, je l'ouvrais et le lisais en me détendant un peu. Je soupirais visiblement la demoiselle voulait tout savoir, je levais les yeux au ciel avant de lui répondre.

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De : Nate Darling
Objet : Pause déjeuner
Date : 6 mai 2013 14:17
À : Evelyn Valentine

Chère Mademoiselle Valentine,

C'était un agréable déjeuner, je pense que nous pourrions faire cela de temps à autre lorsque nos emplois du temps correspondront.
Non tu n'as rien fait de mal, si ce n'est que je déteste être touché sur le dos et le torse, je ne peux pas t'expliquer pourquoi mais je déteste ça, au point d'entrer dans une colère noire lorsque je suis touché, pas même ma mère peut me toucher. Je suis désolé si ma réaction t'a déstabilisée.

Nathaniel Darling,
P-DG, Darling Enterprises INC.
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Je me mettais au travail, entamant la rédaction d’un nouvel article. Je n’arrêtais pas de penser à notre pause déjeuner. Nous étions passé d’un moment agréable rempli de séduction et de sexe à un moment tout à fait étrange, et pour afin revenir à un moment détendu. Il fallait vraiment s’accrocher pour suivre. Mais alors que je divaguais dans mes pensées un petit son me signala que Nate avait répondu. J’ouvrais le mail et je le lisais, maintenant je me sens encore plus idiote d’avoir cherché à comprendre. Il ne le disait peut être pas mais c’était de ma faute car j’avais fait quelque chose de mal. Je restais un petit moment à réfléchir à ce qu’il venait de m’écrire, il n’aimait pas être touché. Il ne me disait pas la raison mais en tout cas cela m’intriguer mais il n’avait pas l’air de vouloir en parler alors je ne vais pas l’embêter plus avec ce sujet.

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De : Evelyn Valentine
Objet : Pause déjeuner
Date : 6 mai 2013 14:26
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

Je suis désolé d’avoir fait ça, je ne pensais que tu n’aimais pas ça. Tu aurais du me le dire directement ça aurait évité que je fasse une bêtise. Je ne le referais plus maintenant que je le sais.

Evy

Evelyn Valentine
Journaliste, MODE Magazine
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Je cliquais sur envoyer mais je restais pensive devant mon écran d’ordinateur.

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De : Nate Darling
Objet : Pause déjeuner
Date : 6 mai 2013 14:30
À : Evelyn Valentine

Chère Mademoiselle Valentine

Tu n'as pas réellement fait de bêtise, je pensais que tu avais compris dès le premier soir où je t'ai placé les mains au dessus de la tête. Je ne voyais pas l'utilité de te le dire puisque jusqu'ici tu ne m'avais encore jamais touché. Sache que ce dégoût est limité à mon simple torse et dos, le reste de mon corps n'est pas concerné par cette restriction.
Travaille bien et ne mouille pas ta culotte cette fois, sinon je serais obligé de venir moi même te l'enlever au travail.

Nathaniel Darling,
P-DG Fan de tes petites culottes humides, Darling Enterprises INC.
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J'envoyais le mail et recevais l'un de mes collaborateurs en rendez-vous, je ne prêtais donc plus aucune attention à mes mails, je ne pouvais pas me permettre de lui répondre alors que j'étais en train de m'entretenir avec quelqu'un.

Alors que j’étais entrain de travailler sur mon nouvel article, une fois de plus un son se manifesta pour me signaler le nouveau mail reçu. Je me mettais à le lire et mon cœur se serra. Je me demandais bien ce qui avait pu lui arriver pour qu’il ait ce dégout rien que sur ces deux zones là. Je finirais bien par le savoir un jour. Je souriais en voyant la fin de son mail et la signature. Je m’apprêtais à lui répondre quand l’assistante de la rédactrice en chef débarqua dans mon bureau pour me dire que la rédactrice en chef voulait me voir. Je fermais ma messagerie et je me rendais dans le bureau de la rédactrice en chef. Elle me fit par une fois de plus des échos positifs qu’elle avait eu depuis mon interview de Nate. Elle me proposait d’aller faire l’interview d’un joueur de foot. Elle me dit que tout était déjà planifié et qu’elle me ferait parvenir l’ensemble des thèmes que je devrais aborder lors de l’interview. Cela se passerait une fois de plus dans une chambre d’hôtel car le joueur de foot sera de passage en ville. L’interview se déroulera mardi prochain et je dois dire que je n’avais pas hâte d’y être. La rédactrice en chef me donna bon nombre de détail et j’avais hâte de quitter son bureau. Suite à l’entretien avec la rédactrice en chef, je retournais dans mon bureau. Je n’avais franchement envie d’aller faire cette interview connaissant la nature de ce type. Je soupirais et j’ouvrais ma messagerie pour parler avec Nate.
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De : Evelyn Valentine
Objet : Encore une interview
Date : 6 mai 2013 15 :17
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

Je pense que pour ton histoire de zone sensible tu aurais du me prévenir mais c’est tout maintenant, je le sais et je ferais attention.
Je travaillais bien jusqu’à ce que l’assistante de la rédactrice en chef débarque dans mon bureau. Crois-moi, j’aurais préféré mouiller ma petite culotte plutôt que d’aller voir la patronne. Elle voulait me dire que j’allais faire l’interview d’un célèbre joueur de foot. Cela ne m’enchante pas, je n’aime pas les interviews. En plus d’après ce que l’on raconte, ce mec est un vrai chaud lapin. Je n’ai vraiment pas envie de me retrouver dans une chambre d’hôtel avec lui. Enfin bref, c’est mon travail et comme dans tout travail il y a des inconvénients.

Evy

Evelyn Valentine
Journaliste qui aimerait faire des choses perverses pour se changer les idées, MODE Magazine
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J’envoyais le mail et je me remettais à la rédaction de mon article. Décidément aujourd’hui je n’allais pas fort vite, j’avais bien du mal à me mettre au travail.

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De : Evelyn Valentine
Objet : Et oui…
Date : 6 mai 2013 15 :17
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

Oui, je vous le confirme ENCORE dans une chambre d’hôtel. Si ça aurait été avec toi, je n’en aurais pas fait tout un fromage et je serais déjà presser d’y être mais là…
Sachant ce que nous avons fait le jour de ton interview, je me dis que ce type pourrait avoir la même idée qui lui traverse l’esprit. Cela ne me rassure pas même si je ne vois pas ce qui chez moi pourrait attirer un homme qui à toutes les femmes qu’il veut.
J’aurais bien aimé le faire dans un lieu neutre mais ma patronne a déjà tout programmer. Apparemment le joueur est de passage alors il aura peu de temps à consacrer à l’interview c’est pour une question « pratique » que cela se fait dans sa chambre d’hôtel.
Il faut que je fasse cette interview, c’est mon travail et puis je n’ai pas envie d’avoir des problèmes à cause de mon refus.
J’aurais CARREMENT préférer mouiller ma petite culotte. Je meures d’envie d’être à ce soir, ma petite culotte et moi on sera rien qu’à toi.

Evy

Evelyn Valentine
Journaliste prête à écarter les cuisses, MODE Magazine
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De : Evelyn Valentine
Objet : Des boules ?
Date : 6 mai 2013 15 :26
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

Tu vas finir par me faire peur à me dire tout ça, déjà que je ne suis pas rassurer à l’idée d’y aller.
Si tu me trouve si magnifique et bandante peut être que je le serais même avec un col roulé ! Enfin peut être que tu es le seul à penser ça de moi à moins que tu ais un problème de vision. Tu devrais peut être consulté.
N’en touche pas un mot à ma patronne, elle se demanderait pourquoi tu te mêles de ça et elle serait sur mon dos pour savoir la vérité.
Faites comme chez vous monsieur, mon cul et ma culotte vous appartiennent. Au fait, c’est quoi cette histoire de boules ? Quelle idée perverse as-tu en tête ?

Evy

Evelyn Valentine
Journaliste & soumise, MODE Magazine

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De : Evelyn Valentine
Objet : Idées perverses
Date : 6 mai 2013 15 :33
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

Je veux bien qu’il m’accompagne cela me rassura. Comme ça si ce joueur de foot tente de se jeter sur moi, je hurlerais pour que Taylor vienne m’aider.
Je suivrais ton conseil vestimentaire même si ce n’est pas dans mes habitudes.
Je n’ai pas besoin de consultation, je fais juste un constat. Si j’étais si jolie, tu ne serais pas le premier à m’avoir fait l’amour. De plus, je n’ai jamais vraiment eu de relation amoureuse alors ça veut dire que je ne plais pas. Si j’étais si belle et bandante, je les collectionnerais les hommes.
Je me lance de ce pas dans une recherche internet mais je crois que cela va me donner chaud de partout si je vous imagine entrain d’utiliser ces boules.
Je serais très docile et à l’écoute. J’ai hâte de jouer moi aussi…

Evy

Evelyn Valentine
Journaliste fan des jeux pervers, MODE Magazine
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De : Evelyn Valentine
Objet : Rien que pour toi
Date : 6 mai 2013 15 :55
À : Nate Darling

Cher Monsieur Darling,

Je te communiquerais tout ça, merci de me prêter ton cher Taylor.
Heureusement qu’il ne s’applique pas à toi, je préfère être avec mes petites robes, en sous vêtement ou même nue quand je suis avec toi.
Quel homme dans l’ascenseur ? Je n’ai pas remarqué d’homme qui me regardait. En même temps, j’étais beaucoup intéresser à regarder celui qui me tenait contre lui.
Je viens de faire la recherche internet et j’ai hâte de voir ce que tu vas faire avec ça. Je suis excité rien qu’en y pensant. J'ai très envie d'être dans tes bras et réaliser le moindre de tes désirs...

A tout à l’heure.
Evy

Evelyn Valentine
Journaliste toute mouillée, MODE Magazine
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Je finissais mon travail et je sortais à 16h30, je pris comme à mon habitude les transports en commun pour retourner chez moi. Il n’était pas loin de 17h10 quand j’arrivais enfin à mon domicile. Je me dépêcher d’aller prendre une douche et je me séchais avant de me faire jolie. Je n’allais pas garder ma tenue de travail surtout qu’il l’avait vu ce midi. Je mettais une robe blanche très minimaliste mais en même temps c’était fait exprès. Je me maquillais et je me coiffais en laissant mes cheveux long ondulés avant d’attendre sagement que mon cher monsieur Darling arriver.

http://www.newfashion.fr/392-1229-large/sexy-robe-courte-fashion-dos-nu-et-chaines-couleur-blanc.jpg

Je sortais du travail vers 17heures puis repartais chez moi me changer, j'enfilais un simple jeans et un tee-shirt et une veste en cuir, je faisais un passage par la salle de jeux et fourrais rapidement des boules de geisha dans ma poche interne de veste. Je descendais ensuite au garage et prenait l'audi flambant neuve de la demoiselle. Une audi a5 blanche décapotable, je sortais en trombe du parking et roulais jusqu'à chez elle, je me garais le long du trottoir avant de descendre de voiture et d'aller sonner chez elle. Une très belle créature vêtue d'une robe blanche minimaliste m'ouvrit la porte, j'étais surpris puis j'appréciais la vue.

"Waw.... Mademoiselle Valentine, vous frappez fort aujourd'hui.... Mais en réalité ta surprise t'attends dehors alors il serait préférable que tu mettes un manteau pour sortir...."

Je lui bouchais la vue afin qu'elle ne puisse pas voir la voiture que j'avais tout de même garé un peu plus loin. Je la laissais enfiler un manteau puis nous sortions tous les deux, je passais mon bras autour d'elle puis la guidais vers la voiture puis je lui tendais les clés.

"Cette voiture est à toi....."

Maintenant que j’étais prête, j’attendais bien sagement l’arrivée de Nate. J’étais impatiente de le retrouver. Je ne connaissais à peine et pourtant j’étais déjà totalement accro, ça ne m’étais jamais arrivé avant. Soudain, on sonna à la porte et je me précipitais pour ouvrir. J’esquissais un sourire en voyant Nate apparaitre.

« Je me suis dis qu’on resterait surement ici alors j’ai décidé de mettre ça pour que tu puisses apprécier la vue. Une surprise dehors ? »

J’étais intrigué par tant de suspense et je mettais un manteau long comme il me le demandait vu ma tenue. Je me demandais ce qu’il mijotait et je le suivais tout en le laissant passer son bras autour de moi. Il s’arrêta devant une voiture avant de me tendre les clés. Je le regardais totalement abasourdi alors qu’il me disait qu’elle était à moi.

« Je… Mais… je ne peux pas accepter… C’est beaucoup trop… »

J’étais contente de l’attention mais je ne voulais pas passer pour une profiteuse en acceptant des cadeaux hors de prix de sa part. Je m’approchais de la voiture pour l’examiner d’un peu plus près. C’était vraiment le genre de voiture qu’on remarque ! Elle était vraiment belle en blanche avec ces fauteuils rouges. Je me tournais vers Nate et je venais me coller à lui en passant mes bras autour de son cou.

« Tu es complètement fou… Tu sais, j’aurais été contente avec des fleurs ou une boite de chocolat. Tu n’as pas besoin de dépenser ton argent pour moi, ça me fait plaisir ton cadeau je ne dis pas le contraire mais je ne vois pas pourquoi je mérite un tel cadeau »