La jeune femme se mit à rire alors que je lui donnais une note. Elle me demanda alors si j’étais la meilleure vierge que j’avais dépucelée.

« Et bien tout comme vous, c’est une première pour moi et je n’ai pas été déçu… »

Je la laissais reprendre son souffle puis la jeune femme se mit à me mordiller le cou, cela ne me dérangea pas étrangement. Je n’aimais pas être touché et là pour la deuxième fois ça ne me déranger pas. Mademoiselle Steele finit par se lever et je me rhabillais. Elle chercha son string après s’être rhabillée mais je l’avais trouvé avant. Elle tendait la main pour que je lui donne tout en me souriant.

« Pareil pour moi Mademoiselle Steele. C’était un plaisir de vous donner du plaisir pour la première fois »

Je plongeais mon regard dans le sien et je l’attirais contre moi. Je l’embrassais et je remettais le string dans ma poche avant de mettre une petite tape sur les fesses de la jeune femme.

« Ca, je le garde ! »

Je rigolais légèrement et je me dirigeais vers la porte. Il était temps de revenir à la fête, nous n’avions que trop tarder ici. Nous descendions en bas et la jeune femme décida de rentrer chez elle.

Le weekend fut chargé pour ma part mais j’eus tout de même le temps de repenser à Mademoiselle Steele. Comment ne pas oublier la jeune femme à la peau si douce et si désirable. Je pensais déjà au moment où mes mains pourraient parcourir de nouveau son corps. Lundi matin, j’étais arrivée tôt et j’avais demandé la personne chargée de l’accueil de conduire Mademoiselle Steele à son nouveau poste et que je souhaiterais la voir dans la matinée. Je retournais dans mon bureau et je mis le string de la demoiselle dans mon premier tiroir. Je me mettais à travailler en attendant l’arrivée de la demoiselle.

J’étais entrain de bosser quand soudain Mademoiselle Steele entra dans mon bureau. Je la détaillais du regard dans ma petite robe avec ces talons aiguilles, elle était vraiment bande dans cette petite robe.

« Bonjour Mademoiselle Steele… Vous pouvez vous asseoir »

Je la regardais alors qu’elle s’approchait de mon bureau pour s’asseoir. Je l’observais me délectant du spectacle. Elle devait se demander pourquoi je l’avais mis au poste d’assistante.

« Comme vous l’aurez compris Mademoiselle Steele, vous allez être mon assistante personnelle. Mais afin de dissiper tout doute, je tiens à vous dire que je ne vous ai pas nommé à ce poste après ce que nous avons fait sur la banquette située derrière vous. J’ai pris cette décision dès que vous m’avez parlé des agissements de mon employé. »

Au moins je mettais les choses au clair entre nous. Je me levais et je faisais le tour de mon bureau afin de m’appuyer contre celui-ci.

« J’espère que vous apprécierez ce poste, je ne pouvais pas vous trouver une meilleure place… Vous devrez être là pour mes rendez vous et dès que je vous demande. Vous verrez au fur et à mesure ce que vous devez faire. En attendant vous pouvez aller chercher quelque chose dans le premier tiroir de mon bureau si cela ne vous dérange pas »

J’expliquais à la jeune femme que ma décision n’avait rien à voir avec ce que nous avions fait sur la banquette. Cette évocation fit rougir la jeune femme et cela m’amusa de la faire rougir de nouveau. Mademoiselle Steele m’expliqua qu’elle n’aurait pas voulu du poste si elle l’avait obtenu pour ce que nous avions fait sur le canapé.

« Vous ne l’avez pas obtenu de cette façon, j’avais pris ma décision bien avant ça. Mais je dois dire que ce que nous avons fait m’a confirmé que j’avais fait un excellent choix… »

Je la regardais en souriant puis je lui demandais d’aller me chercher quelque chose dans le premier tiroir de mon bureau. Je l’observais alors qu’elle se levait, appréciant ces courbes dans cette petite robe noire. Je la regardais d’un air amusé quand elle vit et sortit le string du tiroir.

« J’aime jouer Mademoiselle Steele, c’est mon activité favorite »

Je rigolais légèrement puis je fis le tour du bureau pour rejoindre la jeune femme. Je me plaçais derrière elle et je posais mes mains sur ces hanches tout en déposant des baisers sur son épaule dénudée. La jeune femme me donnait vraiment des envies folles de lui faire l’amour, je voulais l’entendre crier de nouveau comme elle l’avait fait la première fois. C’était bien la première fois qu’une assistante me faisait autant d’effet. Je la fis se tourner vers moi et je la regardais dans les yeux avant d’être pris d’une envie irrésistible de l’embrasser langoureusement. Je la regardais avant de déposer quelques baisers sur son cou.

« Que vais-je faire de vous, Mademoiselle Steele ? »

Je la serrais bien contre moi tout en passant mes mains sur elle. J’avais eu envie de faire ça tout le weekend.

J’esquissais un sourire quand la jeune femme me dit que je pouvais faire tout ce que je voulais d’elle. Quelle proposition tentante… Je n’arrivais pas à résister à mon envie d’elle. Je ne sais pas ce qu’il se passe mais cette fille me fait prendre la tête. Je fis en sorte qu’elle soit assise sur le bord de mon bureau tandis que sa jambe s’enroulait le long de ma taille. Je prolongeais son baiser tout en appuyant mon bassin contre le sien afin de lui faire sentir mon érection naissante. Mademoiselle Steele me rappela alors que j’avais un rendez vous dans quinze minutes, je l’avais totalement zappé l’espace d’un instant.

« Je vais arranger ça, Mademoiselle Steele… »

Je gardais la demoiselle dans mes bras et d’une main j’appelais l’accueil. Je ne comptais pas m’arrêter comme ça, je ne voulais pas lâcher la jeune femme.

« Bridget, annulez mon prochain rendez vous … Merci »

Je raccrochais et je reportais mon attention sur la jeune femme que j’avais dans les bras. Je n’en revenais pas d’avoir annulé un rendez vous professionnel pour pouvoir prendre du bon temps. Je caressais lentement la cuisse de la jeune femme et je venais l’embrasser langoureusement. J’avais envie d’elle, ici, maintenant. Je passais une main entre nous et je déboutonnais mon pantalon puis baisser le zip. Je sortais mon sexe et d’une main je passais sous la jupe de la demoiselle pour écarter le fin tissu qui lui sert de sous vêtement. En moi de temps qu’il n’en faut pour le dire, j’étais en elle. Je ne bougeais pas durant quelques secondes pour savourer.

« Je vais vous baiser rapidement et brutalement Mademoiselle Steele… »

Je l’embrassais avec fougue puis je commençais à faire des mouvements de vas et viens. Je donnais de franc coup de rein tout en la serrant contre moi. Je voulais l’entendre crier à nouveau, mon bureau était insonorisé alors nous étions tranquille.

Je grognais légèrement tandis qu’elle tirait sur ma lèvre inférieure quand je la pénétrais. Décidément cette demoiselle m’excitait énormément.

« Vous n’avez encore rien vu de tout ce que je prévois de vous faire… »

Je l’embrassais et je me mettais à la pilonner avec vigueur, prenant du plaisir à la baiser tout en l’écoutant gémir. La jeune femme atteignit l’orgasme et je ne tardais pas à avoir le mien, me déversant avidement en elle. Je serrais la jeune femme contre moi tandis qu’elle reprenait son souffle et qu’elle déposait des baisers sur mon cou. Je rigolais légèrement quand elle me dit que baiser avec moi était toujours un plaisir.

« C’est un plaisir que je partage avec vous Mademoiselle Steele… »

Je lui souris et je la laissais descendre du bureau. Je me rhabillais correctement alors que ma petite assistante faisait de même. Je l’observais tandis qu’elle sortait de mon bureau en roulant des hanches, qu’est ce que je ne lui ferais pas à ce petit cul. Je me remettais à mon bureau et j’ouvris mon ordinateur pour envoyer un mail à la demoiselle

De : Christian Grey
Objet : Parfait début
Date : 26 Mars 2014 11h30
À : Anastasia Steele

Chère Mademoiselle Steele,

Je dois dire que votre première matinée en tant que mon assistante personnelle, c’est absolument bien déroulée. Je dois vous avouer que vous êtes très douée pour ce poste.
Je dois vous dire que votre sortie m’a donné des idées pour notre prochaine entrevue… Que pensez vous votre nouveau poste ?

PS : Vous avez oublié votre string qui a retrouvé de nouveau sa place dans mon tiroir. Il me fait penser à vous, je peux y sentir votre odeur enivrante Mademoiselle Steele.


Christian Grey
P-DG, Grey Enterprises Holdings, Inc.

J’avais envoyé mon mail à Mademoiselle Steele afin de lui parler de notre matinée. Je reprenais ensuite mon travail, j’avais tout de même pas mal de chose à faire et j’avais perdu du temps en faisant des folies avec ma petite assistante sexy. Je devais donc rattraper mon retard maintenant et redoubler d’effort. Mais tandis que je travaillais, j’entendis un petit ping qui me prévenait de la réponse de la demoiselle. A la lecture de sa réponse, je ne pus m’empêcher de sourire. Elle me cherchait mais elle allait vraiment me trouver

De : Christian Grey
Objet : Re : Parfait début
Date : 26 Mars 2014 11h37
À : Anastasia Steele

Chère Mademoiselle Steele,
Je suis ravi de savoir que vous apprécier ce poste et que vous aimez travailler pour moi. Si vous avez des questions sur votre nouveau poste vous pouvez me les soumettre si vous en ressentez le besoin

PS: Un trophée ? Mademoiselle Steele, mes seuls trophées sont vos cris de jouissance si exquis…  J’ai hâte de voir le reste de vos petites tenues… J’attends votre visite Mademoiselle Steele.

Christian Grey
P-DG, Grey Enterprises Holdings, Inc.

Je cliquais sur “envoyer” et je retournais à mon travail. Bien entendu, mon téléphone ne tarda pas à sonner et je répondais à mon collaborateur.

J’étais au téléphone quand je vis Mademoiselle Steele venir dans mon bureau avec les papiers que je devais signer. J’esquissais un sourire tout en continuant de parler avec mon interlocuteur. Elle posa les papiers sur mon bureau et je l’observais en souriant. Soudain la demoiselle fit pivoter mon fauteuil et elle passa sa main sur mon sexe au travers de mon pantalon. Bien entendu, ma réaction ne se fit pas attendre surtout que la jeune femme était entrain passer sa langue sur ces lèvres. Je la vis s’agenouiller et je fus assez étonné mais ravi car je comprenais ce qu’elle souhaitait faire. Je la laissais faire tout en l’observant. Je continuais ma conversation téléphonique et j’écoutais mon interlocuteur quand elle se mit à lécher le bout de mon sexe. Je me mordais la lèvre puis elle prit mon sexe dans sa bouche. Je tentais de me contenir mais la jeune femme continuait de me sucer, prenant de plus en plus d’assurance.

« Je vous rappelle tout à l’heure…. »

Rapidement, je coupais court à ma conversation et je raccrochais mon téléphone. Je regardais la jeune femme qui me suçait et je ne pouvais pas m’empêcher de gémir. Je passais mes mains dans les cheveux de la jeune femme et elle se mit à me pomper avec de plus en plus d’avidité.

« Oh putain… Si vous continuez, je vais venir dans votre bouche… »

Je sentais que ça montait et si elle n’arrêtait pas, j’allais me déverser dans sa bouche.

Malgré mon avertissement, Mademoiselle Steele continua et je venais dans sa bouche peu de temps après. Je la regardais tandis qu’elle venait d’avaler, cela était incroyablement excitant. Elle se redressa et lissa sa robe.

« Un vrai délice Mademoiselle Steele… »

Je ne me rhabillais pas, laissant mon sexe à l’air tandis que la jeune femme se pencher pour récupérer les papiers. Je pouvais alors admirer son joli petit cul qui ferait bander un saint. Je ne pus résister et je l’attirais sur moi, la ceinturant pour qu’elle ne puisse pas m’échapper.

« Vous pouvez faire beaucoup de choses Mademoiselle Steele … »

Je passais mes mains sur ces cuisses remontant de plus en plus pour passer sous sa robe. La jeune femme écarta un peu plus les cuisses tout en déposant des baisers sur mon cou.

« Oui faites le patienter car je n’en ai pas fini avec vous… »

Sans plus attendre, j’enfonçais deux doigts en elle. Je me mettais à faire des mouvements de vas et viens, rapide afin de lui donner du plaisir. J’avais envie de la faire jouir de cette manière alors je m’appliquais car j’aurais tout le temps de la baiser juste après.

« Vous mouillez tellement pour moi Mademoiselle Steele… »

« Je saurais vous libérez à temps … »

J’enfonçais mes doigts en elle, décidant de lui procurer du plaisir de cette façon dans un premier temps. Elle aura d’autant plus envie de moi après ça. Elle gémissait de plus en plus et elle finit par atteindre l’orgasme. Je la laissais reprendre son souffle et ces esprits puis elle tourna la tête vers moi. Je prolongeais son baiser tout en la sentant onduler des hanches.

« C’est un privilège que vous avez Mademoiselle Steele, je ne baise jamais mes employés… »

Je passais mes mains sur elle tandis que mon érection prenait de l’importance à force que la jeune femme se frotte à moi. Je la fis se lever et je la plaquais doucement contre le bureau. Elle avait sa poitrine contre le bureau et son cul en arrière. Je baissais mon pantalon et j’écartais les jambes de la jeune femme.

« Je vais vous prendre par derrière »

Je frottais mon sexe sur le sien et je sentais à quel point la jeune femme était mouillée pour moi. Je dois dire que j’étais ravi de voir l’effet que je pouvais avoir sur elle. Mais je ne pouvais plus attendre l’envie était trop forte surtout en la voyant dans cette position. Ni une ni deux, je la pénétrais lentement avant de commencer les mouvements de vas et viens. Je la tenais par les hanches pour la baiser comme je le souhaitais, dans cette position j’entrais profondément en elle.

« Je veux vous entendre jouir Mademoiselle Steele… »

Je fermais les yeux en la baisant, savourant le moment. J’adorais la baiser et je dois dire que son corps me rendait dingue. Je crois que je passerais mon temps en elle si je le pouvais. Je ne comprends pas ce que cette demoiselle attise en moi mais je prends un pied incroyable. De plus, j’aime la voir entrer dans mon bureau tout en repensant à ce que je lui fais.

Je baisais la jeune femme sur mon bureau dans un flot continu de vas et viens. Je lui fis atteindre l’orgasme et je ne tardais pas à venir en elle. Je me retirais d’elle sans attendre et la jeune femme se redressa. Nous nous rhabillons bien tous les deux puis je regardais la jeune femme qui m’adressait un large sourire auquel je répondis.

« Très satisfait Mademoiselle Steele mais j’espère que vous êtes également satisfaite de votre coté… »

Je l’observais tandis qu’elle reprenait les papiers sur mon bureau et qu’elle reprit son rôle d’assistante. Je reprenais donc mon statut de patron quand elle me demanda si j’avais quelque chose de particulier à lui faire faire pour demain.

« Oui envoyez moi mon rendez vous dès qu’il arrive… Si vous avez trop de travail, ne vous en faite pas et finissez votre journée à l’heure habituelle. Vous aurez le temps demain de rattraper votre retard car je dois également rattrapé le mien. Vous n’avez rien à préparer pour demain, ça ira Mademoiselle Steele. »

Je regardais la jeune femme qui serrait les papiers contre sa poitrine tout en écoutant mes consignes. Elle se dirigeait alors vers la porte de mon bureau et soudain je ressentis le besoin de passer encore du temps avec elle.

« Euh Mademoiselle Steele… Accepteriez-vous de diner avec moi ce soir ? »

Je n’en revenais pas que j’étais entrain de demander cela à mon assistante. Je n’arrivais pas à comprendre, ce n’était pas du tout mon genre de faire ça mais bizarrement j’en avais envie et c’est bien ça que je n’arrive pas à comprendre.

Je la regardais alors que je venais de lui proposer de diner avec moi ce soir. La jeune femme se mit à réfléchir tout en se mordant la lèvre inférieure, je dois dire que cela me troubla mais j’essayais de penser à autre chose. Mademoiselle Steele finit par me répondre qu’elle se ferait une joie de m’accompagner.

« Excellent, je passerais vous prendre chez vous »

Cette phrase pouvait avoir un double sens qui ne me déranger pas mais heureusement que nous savions de quoi nous parlions. Le reste de la journée passa assez vite vu le travail que j’avais à faire. Quand je quittais l’entreprise, Mademoiselle Steele était déjà partie. Je rentrais chez moi et je prenais une douche avant de m’habiller pour aller diner. Je mettais une chemise blanche, une veste et un pantalon de couleur noire. Je ne mettais pas de cravate, je souhaitais être plus décontracté. Je me rendais au domicile de Mademoiselle Steele, j’étais son employeur alors je connaissais son adresse. Je sonnais à la porte et rapidement la porte s’ouvrit. Je fus bouche bée devant la tenue de la jeune femme, elle était carrément à tomber dans sa robe courte.

« Bonsoir Mademoiselle Steele… »

Qu’est ce que j’aimerais lui retirer sa robe et la baiser tout de suite, mais nous devions aller diner. Je crois que si je rentre dans son appartement, j’aurais bien du mal à me tenir vu tout ce qui me passe par la tête.

Je lui adressais un sourire tandis que j’étais totalement charmé par sa tenue. Je la laissais prendre son bac et refermais la porte avant de passer devant moi. Et finalement, je me rendais compte que je n’avais pas vu la totalité de sa tenue. Sa robe était à dos nue et le laisser une pleine vue jusqu’au bas de ces reins. Cette robe était loin de me laisser indifférent… Mais où est donc passer la fille qui s’habille aux marchés aux puces. En tout cas, je la préfère largement comme ça. Elle était mise en valeur comme il se doit.

« Dans un charmant restaurant en ville où j’ai mes habitudes… »

J’avais réservé comme à mon habitude un petit salon privé, nous serions tranquille pour manger. Même si pour le moment, je n’avais pas faim de nourriture. Une fois dans l’ascenseur, je l’observais tandis qu’elle s’appuyait contre la paroi de l’ascenseur. Je plongeais son regard dans le sien, les ascenseurs me faisaient toujours un effet particulier. Je m’approchais de la demoiselle à pas de velours sans la quitter des yeux. J’étais si proche d’elle mais je ne le touchais pas.

« Vous êtes vraiment très belle, Mademoiselle Steele… Cette robe vous va à merveille… »

Mais alors que je m’apprêtais à poser mes mains sur elle, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent. Frustration ! Je soupirais et je sortais de l’ascenseur en compagnie de la jeune femme. Mon chauffeur nous attendait en bas et je montais dans la voiture avec Mademoiselle Steele. Je l’observais du coin de l’œil et je constatais que dans la voiture sa robe, déjà très courte, remontait encore. Je tentais de penser à autre chose mais c’était trop tentant. Je posais lentement ma main sur sa cuisse que je me mettais à caresser lentement, appréciant la douceur de sa peau. Si je pouvais, j'arrêterais la voiture et le ferait sortir pour pouvoir baiser la jeune femme à l'arrière de la voiture. C'était tellement tentant, j'avais envie d'elle et je tentais de me canaliser pour ne pas avoir une érection.

Dans la voiture, je ne pus résister à l’envie de la toucher et je perçus son frisson. Cela me fit sourire et je continuais jusqu’à ce que nous soyons arrivés. Une fois au restaurant, nous étions conduits vers le petit salon privé que j’avais réservé pour l’occasion. Je remarquais que le serveur était entrain de regarder Mademoiselle Steele et je ne pus m’empêcher de lui lancer un regard noir. Je prenais place face à la demoiselle et je répondais à son sourire.

« C’est exact… Vos prouesses y sont sans doute pour quelque chose mais je dois bien avouer que j’avais envie de vous voir en dehors du bureau »

Je me demandais si c’était parce qu’elle était mon assistante bien foutu que j’avais envie de la baiser dès qu’elle mettait un pied dans mon bureau. Je me disais qu’elle ne me ferait plus cet étrange effet quand nous serions dans un autre contexte. Finalement, ce n’est pas le cas. Elle me fait autant d’effet qu’au bureau si ce n’est plus dans sa charmante robe.

« Et vous, vous acceptez souvent de diner avec votre patron ou c’est une exception? »

Je lui adressais un sourire amusé tout en continuant de l’observer. Dire que j’étais le premier à lui avoir fait l’amour, j’étais le seul à l’avoir touché comme je la touche. Je dois dire que cette vérité me plaisait énormément. Le serveur arriva et il prit nos commandes pour la soirée à commencer par l’apéritif. Une fois seul à nouveau, je regardais la jeune femme et une interrogation me vint.

« Excusez moi par avance mais j’aurais une question à vous posez…. Pourquoi avoir accepté de coucher avec moi alors que vous étiez vierge ? D’après ce que j’attends, les jeunes femmes espèrent attendre la bonne personne et ne se livrent pas au premier venu. »

Je me demandais ce qui avait bien pu la pousser à coucher avec moi alors que nous nous connaissions à peine et qu’en plus elle était vierge. Si elle n’avait pas été vierge, je ne me poserais pas cette question.