Je suis le PDG d’une des plus grandes entreprises de New York mais également l’un des plus jeunes. J’avais réussi pas mal de choses dans ma vie notamment en ce qui concerne la partie business, coté sentimental c’était une tout autre histoire. Je savais très bien que je plaisais aux femmes mais encore fallait-il qu’elles me plaisent en retour. Ce n’est pas que je suis difficile mais j’ai quelques exigences en la matière. Je dois bien avouer que je n’ai jamais eu de relations sérieuses, je me contente de simples parties de baises à ma manière. Enfin bref, ma vie sexuelle n’est pas le sujet principal pour l’instant.

Je suis un patron très exigent et je déteste que l’on se foute de moi. Quand je veux quelques choses, je veux que cela soit fait dans les délais. Je fais marcher une entreprise, et pas une maison close ! Je sais très bien que je peux paraitre impressionnant, surtout quand je suis dans une colère noire, mais je ne peux rien n’y faire je suis comme je suis. Aujourd’hui, je n’étais pas de très bonne humeur à cause d’une affaire que j’étais entrain de mener. Soudain, j’entendis frapper à ma porte et j’aboyais à la personne d’entrer. C’est alors que mon regard fut attiré par la créature étrange qui entra dans mon bureau. Discrètement, je la détaillais et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle avait l’air de s’être habiller au marché aux puces. Comment se fait-il que j’ai des employés aussi mal habillé ? Enfin bref, je ne peux pas dire à tout le monde de s’habiller comme je le souhaite. Après tout cette fille n’a peut être pas les moyens de s’acheter de jolis vêtements ou elle a également de très mauvais gout vestimentaire. Toutefois, je me demande bien ce qu’elle peut cacher derrière ces vêtements… Christian, il faut penser à autre chose comme au travail par exemple. Il était bien temps pour moi de me ressaisir surtout quand la jeune femme me dit qu’elle venait me remettre le rapport financier de Monsieur Jameson.

« Oublier ?!? Vous croyez peut être qu’une entreprise peut marcher correctement avec des employés aussi incompétent ! »

Je me levais de mon siège afin de faire le tour du bureau. Je reprenais sèchement le dossier des mains de la jeune femme afin de le feuilleter rapidement en m’appuyant sur mon bureau.

« En plus de me rendre ce rapport en retard, c’est un vrai torchon ! Vous êtes payés à faire quoi mademoiselle ? A regarder les mouches volées ?... Quel est votre nom ? »

J’étais en colère et le fait de me rendre un dossier en retard avait fait déborder le vase. La jeune femme était venue au mauvais moment car tout retomber sur elle.

« Vous direz à votre supérieur que je ne tolérais plus aucun retard surtout s’il ne veut pas que vous perdiez votre job mais aussi le sien ! »

Alors que j’étais entrain de l’engueuler, la jeune femme me répondit. C’était bien rare les gens qui osait prendre la parole quand j’étais énervé. La demoiselle me répondit qu’elle était payée à faire son travail et qu’elle n’avait pas rédigé ce rapport. Elle me dit que si j’avais un problème il fallait que je voie avec son supérieur. Elle finit toute fois par se présenter.

« Et bien Mademoiselle Steele, je verrais ça avec votre supérieur »

Je la voyais s’empourprer et je dois dire que cela m’amuser. Je me demandais si d’autres parties de son corps pouvait rougir de cette manière… Je la menaçais de lui faire perdre son job mais il fallait bien faire peur à ces employés pour qu’ils redoublent d’effort afin de me donner les rapports en temps et en heures. J’observais la jeune femme et elle me dit qu’elle transmettrait mon message à son supérieur.

« Exactement, il serait très préférable que l’on me rend les rapports quand je les demande si personne ne veut perdre son travail »

Je regardais la jeune femme alors que j’étais toujours en colère et elle croisa le mien. Un vrai regard de soumise… Grey, pense à autre chose surtout qu’elle n’était pas top dans ces fringues. Je voyais cette fille pour la première fois et voilà que j’avais des idées perverses alors qu’elle se présentait à moi dans des vêtements qui étaient loin de la mettre en valeur. Encore faut-il qu’il y ait quelque chose à mettre en valeur. Mais mes sens me disaient que je pourrais être surpris. Bref, je devais penser à autre chose.

« Vous pouvez retourner à votre travail Mademoiselle Steele… »

Je disais à Anastasia Steele de retourner travailler et il ne fallut pas lui dire deux fois. J’observais attentivement la jeune femme alors qu’elle s’éloignait dans sa petite robe moulante. Je suis sûre d’avoir une agréable surprise si j’avais la possibilité de retirer ces vêtements. Enfin bref, je retournais à mes affaires où je passais tout mon temps à travailler d’arrache pied.
Le lendemain au soir, il y avait le diner de l’entreprise. Je devais donc m’y rendre toutefois, je faisais un détour chez moi afin de m’habiller pour la soirée. Une fois prêt, je me rendais à la soirée. Je n’étais pas le premier à arriver. Il y avait déjà du monde et je saluais mes collaborateurs au passage. J’étais de très bonne humeur ce soir mais ma bonne humeur fut décupler quand j’aperçus au loin Mademoiselle Steele. Elle était totalement bandante dans cette petite robe moulante. Décidément je ne m’étais pas tromper, ces vêtements cachaient de bien belles surprises. Je m’imaginais déjà entrain de lui arracher sa robe et de passer ma langue ainsi que mes doigts sur tout son corps… Christian pense à autre chose ! Oui, il fallait penser à autre chose sinon tout le monde allait voir mon excitation apparaitre devant leurs yeux. Je devais me canaliser afin de ne pas avoir une érection en pensant à tout ce que je pourrais faire à Mademoiselle Steele. Je continuais de saluer tout le monde tout en me rapprochant de plus en plus de la demoiselle. Une fois proche du groupe d’assistante, je les saluais toutes et quand je m’approchais vraiment de la principale intéressée, les autres quittèrent le navire pour nous laisser seuls.

« Bonsoir Mademoiselle Steele… Vous êtes très charmante ce soir, cette robe vous va à ravir… »

Je me montrais sympathique et pas pervers dans ma façon de la complimenter. D’où j’étais, j’avais une superbe vu sur sa poitrine et je pouvais presque apercevoir la forme de ces tétons au travers sur tissu. J’avais qu’une envie ce serait de les mordiller et de les sucer très lentement afin de donner du plaisir à cette demoiselle. Je secouais légèrement la tête pour arrêter de penser à cela et je regardais la jeune femme dans les yeux.

« Comment se passe votre travail avec Mr Jameson ? »

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Mademoiselle Steele me salua et me complimenta sur ma tenue, je la gratifiais d’un sourire. Je la regardais dans les yeux alors qu’elle buvait son verre. Comme j’aimerais être à la place de ce verre… Christian, qu’est ce qu’il te prend ?!? Ca ne te ressemble pas de pensées autant de choses perverses en voyant une fille. Cette fille me faisait travailler mon imagination plus que de raison, c’est bien la première fois. Souvent je pense à certaines choses et je me calme mais là… Je ne peux pas m’empêcher. J’essayais de penser à autre chose en parlant un peu boulot et je demandais à la jeune femme comment ça allait au niveau du travail. Je dois dire que j’étais étonné par ce qu’elle me disait et cela devait se lire sur mon visage. Je n’aimais du tout ce genre de comportement, ce n’est pas parce que ce type est son supérieur qu’il doit la harceler. On ne peut pas forcer une jeune femme qui refuse.

« Je vous comprends, cela ne doit pas être évident… Mais vous ne devez pas vous pénaliser pour ce type »

Je pouvais alors comprendre pourquoi elle était fringuée comme un sac. Mais ce n’était pas des conditions idéales et c’est irrespectueux pour elle. Elle devait surement venir au travail la boule au ventre à cause d’un sale pervers. Mademoiselle Steele me dit qu’elle pensait ne plus supporter ça encore longtemps et qu’elle allait surement partir. Je n’avais pas envie qu’elle parte moi… Enfin, je pense. Je me fichais un peu des états d’âmes de mes employés mais je ne sais pas pourquoi, je n’avais pas envie de la voir quitter mon entreprise.

« Vous n’avez à partir Mademoiselle Steele. Je ne vais pas garder un pervers dans mon entreprise, si ce n’est pas vous alors ça sera une autre. Je ne peux laisser cela continuer de la sorte. Je vais virer Mr Jameson et je vous trouverais une place plus convenable pour vous où vous vous sentirez mieux. Je vous mettrais avec quelqu’un en qui j’ai totalement confiance… »

Et cette personne ce sera moi, mais je ne pouvais pas lui dire ça de cette façon de peur qu’elle refuse ou je ne sais quoi. Elle aurait la surprise après tout au moins elle ne serait pas embêter par un pervers. Bon je ne suis pas blanc comme neige mais je respecte les jeunes femmes.

« Enfin si vous êtes d’accord bien sur… »

Je lui adressais un petit sourire pour finir de la convaincre de mes bonnes intentions. Je ne pouvais non plus lui imposer les choses si elle ne voulait vraiment pas rester mais au moins j’aurais tenté de la garder dans mon entreprise. Je regardais dans la salle et il était bientôt l’heure de passer à table. Je me tournais vers Mademoiselle Steele et je lui pris la main pour lui faire prendre mon bras.

« Joignez vous à moi pour le diner… »

Je me dirigeais vers la table et je tirais une chaise pour que la jeune femme prenne place.

Je continuais de discuter avec Mademoiselle Steele qui me dit qu’elle ne voulait pas être à l’origine du renvoi de son supérieur. Elle parut toutefois tenter par une meilleure place au sein de mon entreprise et cela me plut.

«Je ne peux pas garder un type qui harcèle mes employés, je n’ai pas envie d’avoir un procès sur le dos qui entache la réputation de mon entreprise… Ne vous en faite pas pour votre future place, ce ne sera pas avec un imbécile je peux vous le garantir. Je choisirais personnellement la personne qui conviendra »

Suite à notre discussion j’invitais la jeune femme à se joindre à moi à la table. Elle prit place et je venais m’asseoir à coté d’elle, je voyais bien les regards étonnés des autres mais je me contentais d’ignorer. Je la regardais et je remarquais que sa robe avait remonté mais malheureusement elle me cacha le spectacle en posant la serviette sur ces genoux. Je la regardais dans les yeux quand elle me demanda pourquoi elle dinait en ma compagnie tout en ajoutant que les autres assistantes allaient jaser.

« Et bien vous me paraissait être quelqu’un de franche et de sympathique Mademoiselle Steele, vous n’êtes pas comme les trois quart des personnes présentes qui ne pensent qu’à me lécher les bottes »

Je me penchais vers elle et je regardais en direction des autres assistantes qui étaient médusées pourtant elles ne perdaient pas une miette du spectacle.

« Elles peuvent jaser, elles ne savent rien faire d’autre… Et puis je me fiche bien de ce qu’elles peuvent penser. Là au moins, je suis assis à coté d’une jolie femme comparé aux autres femmes présentes »

Je ne pus m’empêcher de lui adresser un charmant sourire, ce qui ne m’arrivait pas très souvent. Aux yeux de tous, j’étais le patron sérieux et froid. Cela va surement en étonner plus d’un.

Je parlais à la jeune femme et je lui disais que j’aimais son attitude. Mademoiselle Steele me remercia et elle me dit que c’était normal que l’on me lèche les bottes car je suis le patron. Il y a autre chose que je voudrais que vous me léchiez mademoiselle Steele… Mais ça je ne pouvais pas lui dire, juste le penser et l’imaginer.

« Je n’aime pas les lèches bottes, j’aime mieux les gens francs qui me disent ce qu’ils pensent… Mais comme les trois quarts me lèchent les bottes, j’ai confiance en très peu de personnes…»

Je me penchais vers la jeune femme et je n’hésitais pas à la complimenter sur sa tenue qui me plaisait énormément. Cette tenue me laissait percevoir et imaginer ce que désirer secrètement toucher. Elle se mit à rougir face à mes compliments et cela m’amusa de la faire rougir, ça ne faisait que la rendre encore plus charmante. Mademoiselle Steele se lança et me dit qu’elle aurait une question à me poser. Je la regardais d’un air intrigué et j’esquissais un sourire en entendant sa question. Elle souhaitait savoir si j’avais une femme dans ma vie. Mademoiselle Steele ne lit pas les actualités people ?... Je la regardais et je lui adressais un sourire.

« Le poste de Madame Grey est libre et à pouvoir… Les journaux people parlent de moi comme étant le célibataire le plus convoité de la ville… »

Je me penchais de nouveau vers la jeune femme afin de lui parler plus intimement sans que les gens qui nous entoure puissent entendre ce que j’avais à lui dire.

« Vous seriez une candidate parfaite à ce poste Mademoiselle Steele… »

Je lui avais dit cela à voix basse et je savais qu’elle allait se mettre à rougir. Nous commencions à manger tranquillement quand soudain la serviette que la jeune femme avait posée sur ces genoux tomba. Je la regardais alors qu’elle tentait de la ramasser en vain. J’esquissais un sourire et je me penchais pour aller la ramasser, profitant de l’occasion pour regarder sous la jupe de la demoiselle. J’avais une divine envie d’aller y aventurer ma main mais je ne pouvais pas faire cela et pas ici. Une fois que j’avais la serviette en main, je remontais lentement et ma main effleurait la jambe de la jeune femme jusqu’à sa cuisse. Elle avait vraiment une peau très douce et très agréable à toucher. Je lui tendais sa serviette et je prenais une mine tout à fait normale comme ci, je n’avais rien fait aux yeux de tous.

« Voilà votre serviette Mademoiselle Steele »

Je lui adressais un petit sourire avec une lueur de malice qui traversait mes yeux. Je me concentrais ensuite sur mon repas pour laisser un peu de répit à la jeune femme. Après quelques bouchées, je regardais à nouveau à la jeune femme.

« Avez-vous quelqu’un dans votre vie Mademoiselle Steele ? »

Je pouvais bien lui poser la question qu’elle m’avait elle-même tout à l’heure. Je verrais ainsi si j’avais des chances en lui faisant du charme.

Mademoiselle Steele confirma ma pensée quand elle me dit qu’elle ne lisait pas la presse people. Elle ne savait donc pas ce que l’on pouvait dire de moi, j’étais le célibataire le plus convoité pourtant. Je fus amusé de la voir rougir quand je lui disais qu’elle serait une parfaite candidate pour le rôle de Madame Grey. Le repas se poursuivit et la jeune femme fit tomber sa serviette. Je la ramassais, profitant pour venir effleurer sa peau. Je la sentis frissonner et je comprenais alors que je ne la laissais pas indifférente.

« De rien Mademoiselle Steele, c’était un plaisir… »

Je lui adressais un sourire et je mangeais un peu de mon repas. Je revenais ensuite à la charge afin d’en savoir un peu plus sur Mademoiselle Steele. Après tout, je ne savais pas grand-chose sur elle et je ne pouvais pas bien lui poser la question qu’elle venait de me poser. Mademoiselle Steele me répondit qu’elle était célibataire et c’était une bonne chose pour moi.

« Une jeune femme comme vous ne reste pas célibataire bien longtemps… »

Je la regardais et je vis qu’elle se mettait à se tortiller sur sa chaise. Bien entendu, cela me plut car je vis sa robe remontait un peu plus à la limite. J’avais une pleine vue car la jeune femme tenait maintenant sa serviette dans sa main. Je ne me gênais pas pour regarder tandis que je mangeais, profitant du spectacle en lui laissant un peu de répit. Vers la fin du repas, beaucoup c’était levé pour danser un peu. Je me retrouvais donc un peu plus seul avec Mademoiselle Steele. Personne ne pourrait ainsi voir ce que je m’apprêtais à faire. J’approchais ma main de sa cuisse et lentement je venais lui caresser avant de glisser ma main entre ces cuisses. Je continuais mes caresses avec mon pouce tout en la regardant.

« Mademoiselle Steele, nous pourrions aller danser un peu et ensuite vous pourrez passer dans mon bureau pour que nous discutions un peu… Qu’en dites-vous ? »

La jeune femme se mit à rougir alors que je lui caressais la cuisse mais elle n’avait pas l’air contre car elle ne me repoussa pas. Je lui proposais d’aller danser et elle accepta. Sur la piste de danse, nous étions très proches et cette proximité me plaisait. A la fin de la danse, Mademoiselle Steele me suivit dans mon bureau qui se trouvait au dernier étage. Tout le monde était à la fête dans le hall, il n’y avait plus personne dans les étages. Nous serions seuls et au calme ce qui était une très bonne chose. Une fois dans mon bureau, je fermais la porte à clés derrière nous.

« Installez-vous à votre aise mademoiselle Steele… »

Je lui adressais un sourire et je me dirigeais vers une console où je mis un petit peu de musique. La chanson « partition » de beyonce passait en fond dans la pièce tandis que je revenais vers la demoiselle qui était toujours debout. Je me plaçais devant elle, en étant très proche et n’hésitant pas à la dévorer des yeux.

« Mademoiselle Steele vous me plaisez énormément dans cette robe indécente… »

Je la regardais et je caressais son épaule dénudée du bout des doigts. Je descendais ma caresse le long de son bras pour arriver ensuite me glisser dans le bas de son dos. C’est alors que je l’attirais contre moi, ma main à moitié plaquée contre ces fesses. Mon autre main prit le cou de la jeune femme et du pouce je lui relevais la tête avant de venir planter mes lèvres sur les siennes. Je n’avais pas pu résister à la tentation depuis le début de la soirée, je ne pense qu’à ça. Après l’avoir embrasser avec fougue, je remontais mes lèvres vers son oreille pour lui parler à voix basse.

« J’ai très envie de vous Mademoiselle Steele… »

Je plongeais ensuite ma tête vers son cou afin de déposer des baisers sur celui-ci tandis que mes mains se baladaient sur le corps de la jeune femme, appréciant ces courbes au passage. Je relevais la tête et je plongeais mon regard plein de désir dans le sien. Lentement, je l’attirais vers la banquette qui se situait dans mon bureau. Une fois devant la banquette, je la fis s’asseoir au bord de la banquette tandis que je venais me placer à genoux devant elle. Je posais mes mains sur chacune de ces cuisses avant de remonter lentement. Je prenais sa jupe au passage pour la remonter et dévoiler le petit morceau de tissu qui lui servait de sous vêtement. Lentement, je le saisis et je le fis glisser le long des jambes de la jeune femme pour lui retirer. Je le balançais un peu plus loin et j’avais maintenant accès à tout. Je me mettais à déposer des baisers sur ces cuisses tout en remontant lentement, écartant petit à petit ces cuisses. J’arrivais enfin à son sexe dont j’avais très envie de gouter. Je passais sur dans un premier temps ma langue sur la totalité de son sexe et je pus sentir que la jeune femme était déjà toute humide, j’adorais ça. Je passais ensuite ma langue sur son clitoris, le stimulant en faisant des mouvements avec ma langue autour de celui-ci. Je voulais tout faire pour l’entendre crier ce soir pour tout ce que je comptais lui faire dans le temps qui nous était imparti.

J’étais là à genoux devant mademoiselle Steele et je passais ma langue sur son sexe pour lui procurer du plaisir. La jeune femme semblait très réactive face à cela et elle passait ces mains dans mes cheveux en gémissant. Cela m’excitait de l’entendre gémir en m’appelant Monsieur Grey, je redoublais donc d’effort afin de lui donner son premier orgasme de la soirée. J’avais envie de la faire jouir de cette manière et je fis tout pour y arriver tandis que la demoiselle se cambrait un peu plus. Je continuais les assauts répétés avec ma langue jusqu’à l’entendre crier de plaisir, un vrai régal. Je l’observais, me délectant du spectacle de la jeune femme qui reprenait ces esprits alors qu’elle était encore sous l’effet de son orgasme. Je me relevais et je retirais ma veste que je posais sur la table basse. Je ne la lâchais pas du regard et en même temps, je retirais la ceinture de mon pantalon.

« Vous avez très bon goût Mademoiselle Steele… »

Je lui adressais un sourire à la fois coquin et amusé, espérant la voir rougir une fois de plus. Je défaisais les boutons de mon pantalon et je le retirais en emportant mon boxer par la même occasion. Je prenais mon sexe déjà bien tendu et je me caressais en regardant la demoiselle.

« Allongez-vous Mademoiselle Steele… »

Je lui aurais bien demandé de me sucer mais nous n’avions pas assez de temps pour cela. Il ne fallait pas que les autres s’interrogent sur notre absence. Je regardais la jeune femme s’allonger et je venais me placer lentement au dessus d’elle. Je frottais mon sexe contre le sien et je venais l’embrasser fougueusement. Je plaçais mon sexe et je venais lentement m’enfoncer en elle quand soudain je la vis grimacer.

« Vous êtes vierge ? Souhaitez-vous que je continue ? »

Je restais suspendu à ces lèvres, si elle était vierge je voulais être sur qu’elle le voulait aussi. Je n’avais pas envie qu’elle m’accuse ensuite d’abus sexuel ou je ne sais quoi.

Je regardais la jeune femme alors que je venais de sentir qu’elle était encore vierge. Je lui demandais alors si elle souhaitait continuer car si c’était sa première fois, je ne voulais pas la forcer. Mademoiselle Steele me dit alors qu’elle ne voulait pas arrêter, j’acceptais son choix. Heureusement qu’elle voulait continuer car je crois que j’aurais été vraiment très frustré. La jeune femme m’embrassa et je répondais à son baiser tout en m’enfonçant doucement en elle pour ne pas lui faire trop de mal. C’était bien la première fois que je m’apprêtais à baiser une vierge, il fallait bien une première fois à tout. J’allais être le premier à lui faire l’amour, elle allait se rappeler de moi toute sa vie alors je devais me montrer à la hauteur afin qu’elle garde un bon souvenir. Une fois en elle, je commençais les mouvements de vas et viens tout en gardant mon regard rivé dans celui de la jeune femme. J’avais voulu d’elle depuis le début de la soirée et voilà que j’étais arrivé à mes fins. Si la veille on m’avait dit que je coucherais avec cette fille qui s’habille aux marchés aux puces, je ne l’aurais pas cru.

« Mademoiselle Steele… Je veux vous entendre… »

Je l’embrassais puis j’augmentais la cadence afin d’être de plus en plus rapide. Je m’enfonçais toujours un peu plus en elle et le fait de l’entendre gémir me stimulait. J’étais entrain de la baiser rapidement mais cela ne gâchait en rien mon plaisir, ni le sien. Je faisais tout pour la mener à l’orgasme et j’y arrivais sans mal. Je me laissais ensuite aller en elle puis je séparais nos deux corps.

«Pour votre première fois, vous avez été parfaite Mademoiselle Steele »

Je lui adressais un sourire et je venais l’embrasser en jouant avec sa langue. J’aimais bien rester allonger après avoir baiser, je ne pouvais pas dire à la jeune femme que nous devions y aller ça ne se fait pas. Pourtant, nous ne devions pas trop tarder.

Après l’avoir amener à l’orgasme et l’avoir baiser bruyamment, je restais allonger avec elle un instant. La jeune femme me répondit qu’elle avait l’impression d’avoir eu un bon partenaire.

« Je suis compétent en la matière Mademoiselle Steele… »

Je laissais la jeune femme me caressait les cheveux et je dois avouer que je trouvais ça très agréable. Pourtant habituellement, je n’aime pas que l’on me tripote de la sorte. La jeune femme avait gardé ces jambes autour de moi et je déposais des petits baisers sur son cou. Elle était loin de se douter que lundi elle serait mon assistante personnelle. Décidément j’avais vraiment bien choisi cette fois. C’est bien la première fois que je baise l’une de mes assistantes afin dans le cas présent, ma future assistante. Mademoiselle Steele me rappela que nous ferions mieux de retourner au hall avant que les autres se posent des questions. Je ne pus retenir un sourire de satisfaction quand elle me dit qu’elle voudrait remettre ça.

« Personne ne peut venir nous surprendre, le bureau est fermé à clé et puis les gens ne se permettent pas d’entrer comme cela dans mon bureau… Pour ce qui est de remettre ça, ce n’est pas l’envie qui me manque Mademoiselle Steele. Mais nous pouvons remettre ça quand vous voulez… »

Je la regardais dans les yeux en parlant tout en caressant l’une de ces cuisses. Je serais bien capable de la reprendre de nouveau sur ce canapé, nous étions déjà en position et mon sexe ne tarderait pas à être très tendu vu que la jeune femme avait son sexe si proche du mien.

J’esquissais un sourire quand la demoiselle me dit que c’était assez tentant de remettre ça. Mademoiselle Steele était vraiment pleine de surprise. Je sentis alors la demoiselle ondulait et se frottant ainsi à moi. Elle déclencha alors une nouvelle érection et je sentis sa main se glissait entre nous. Elle se mit alors à me caresser, m’excitant un peu plus. Je prolongeais son baiser avant de la laisser me chevaucher. Mademoiselle Steele se frotta alors à moi un peu plus, ne faisant que décupler mon envie d’elle. Elle fit en sorte que je vienne à sa rencontre, me retrouvant donc en position assise. Je prolongeais son baiser et je la laissais s’enfoncer sur mon sexe. Mademoiselle Steele gémit quand je fus en elle et elle me complimenta sur la taille de mon sexe. Je ne voyais pas ce que je pouvais lui répondre mais j’étais content de la satisfaire. J’étais en pleine connaissance de mes capacités et de mes atouts, je savais que j’étais gâté par la nature. Mademoiselle Steele bougea les hanches avec maladresse, je venais donc l’aider dans ces mouvements. Je l’observais alors qu’elle prenait du plaisir, c’était vraiment un joli spectacle dommage que nous ne soyons pas nu. Je prenais du plaisir et la jeune femme aussi. Cela se voyait qu’elle n’avait pas d’expérience et que les sensations étaient nouvelles, la jeune femme ne contrôlait pas ces cris et elle était bruyante mais je dois avouer que j’aimais cela.

« Mademoiselle Steele, vous êtes si bonne… »

Je lui parlais tout en malaxant ces fesses. Je prenais du plaisir et la jeune femme finit par atteindre une nouvelle fois l’orgasme. Je l’atteignis également et je gardais Mademoiselle Steele contre moi.

« 20/20 Mademoiselle Steele »

Je rigolais légèrement et je déposais un baiser sur son épaule. Je la laissais reprendre son souffle et ces esprits. Je crois que si on continuait sur cette lancée, j’étais bien capable de la baiser toute la nuit s’il le fallait. Elle m’excitait beaucoup et en plus de ça elle en redemandait. Je me mettais déjà à imaginer ce que nous pourrions encore faire.