« Je t’aime... »

Je souriais et je caressais doucement sa jambe, pianotant doucement sur celle ci. Anastasia voulait savoir ce que l’on faisait demain.

« Je ne sais pas ce que mes parents ont prévus de faire... Sinon on trouvera surement quelque chose à faire »

Je pense que l’on pourrait toujours s’amuser ensemble de toute manière. Si ma famille n’avait rien prévu, je ferais une sortie dans le coin avec ma chérie.

« On devrait dormir maintenant, on sera plus en forme demain matin »

Je comptais bien m’amuser avec Anastasia du matin avant d’aller rejoindre mes parents.

Anastasia ne tarda pas à se nicher contre moi avant de s’endormir. Je ne tardais pas à en faire autant, dormant comme un bébé au coté de ma chérie. Je fus toutefois le premier à être réveiller mais je ne bougeais pas pour ne pas réveiller toute de suite la jeune femme. J’en profitais pour l’observer en souriant, elle était trop mignonne quand elle dormait. Au bout d’un moment, Ana finit par se réveiller. Je la laissais me voler un baiser avant de sourire.

« Bonjour... Moi aussi j’ai super bien dormi, je dors toujours très bien quand tu es dans mes bras... »

Je la laissais déposer des baisers sur mon cou, profitant de la douceur et de la tendresse de la jeune femme. Je venais me placer au dessus d’elle et je plongeais mon regard dans le sien en souriant.

« Je t’aime bébé... A chaque fois, c’est un bonheur pour moi de me réveiller à tes cotés... »

Je l’embrassais tendrement, jouant doucement avec sa langue avant de sourire contre ces lèvres. Je ne pouvais pas m’empêcher de me frotter doucement contre elle alors que ma réaction matinale était présente entre nous.

Je souriais alors qu’Anastasia me disait qu’elle m’aimait, ça faisait toujours plaisir de l’entendre. Ana ne tarda pas à gémir alors que je me frottais à elle. Je ne la laissais pas indifférent dès le matin ce qui était une bonne chose vu mes envies. Anastasia passa une jambe autour de ma taille et elle se serra contre moi. Nous nous profitions l’un à l’autre, nous étions peut être chez mes parents mais rien ne nous empêcher de faire des bêtises. Je n’allais pas me priver juste parce que j’étais chez mes parents. Heureusement que j’avais viré mon boxer dans la nuit, ça me faciliter les choses pour ce matin. Je passais mes mains sur Anastasia et je faisais doucement remonter sa nuisette. Je ne tardais pas à lui enlever et je me retrouvais avec ma chérie totalement nue dans mes bras. Qu’est ce que j’aime ça ! Je souriais avant de l’embrasser langoureusement en jouant avec sa langue.

« Tu me rends dingue bébé... »


Je me frottais encore à elle puis je profitais du bon moment pour entrer doucement en elle. C’était là que j’avais envie d’être et nulle part ailleurs... Je restais immobile quelques instants pour savourer puis je me mis à bouger en elle, lui faisant doucement l’amour ;

Je plongeais mon regard dans le sien alors que je la pénétrais, savourant ce moment au maximum. Je bougeais doucement, lui faisant l’amour avec douceur. Je prolongeais son baiser à pleine bouche, atténuant nos gémissements. Il fallait que nous soyons un minimum discret, nous n’étions pas chez nous. Je finis par faire atteindre l’orgasme à ma chérie et je ne tardais pas à venir en elle. Je séparais nos deux corps et je venais m’allonger à ces cotés, reprenant mon souffle et mes esprits.

« Moi aussi je t’aime... Plus que tout... »

Je lui adressais un sourire avant de l’attirer contre moi pour l’embrasser tendrement. J’étais vraiment très heureux et sur la même longueur d’onde qu’Ana. Je savais que c’était elle que je voulais et personne d’autre, j’étais sur de moi.

« Je suis content d’avoir fait le choix de tout quitter pour te suivre sur le campus... Je n’aurais pas su rester loin de toi. J’aime être avec toi... »

Je la regardais dans les yeux en souriant, profitant de la douce sensation de la chaleur de son corps contre le mien. J’aimais ce contact peau contre peau.

Je la regardais en souriant alors qu’elle me disait qu’elle était heureuse que je la suives. Ana me disait qu’elle ne voulait pas me priver de mon emploi et qu’elle était prête à renoncer à la fac pour moi.

« Je ne veux pas que tu sacrifies tes études, ton avenir juste pour moi. Ca ne me fait rien de quitter mon poste de professeur. Ca fait un moment que j’ai envie de mettre en place ce projet de café littéraire et je dois dire que le fait que tu ailles à la fac me donne une bonne motivation pour le faire. »

Je n’aurais jamais laisser Anastasia faire une croix sur ces études à cause de moi. J’étais même bien content de pouvoir la suivre pour que mon projet voit le jour.

« On vit presque déjà ensemble en ce moment... A la rentrée, c’est certain que l’on aura notre chez nous et quand ça sera le bon moment on fondera notre famille »

Je voulais avoir des enfants avec elle mais je ne voulais pas que cela interfère dans ces études.

« Tes études ne nous empêcheront pas d’être ensemble, crois moi. Je serais avec toi là bas, tout se passera bien. Je n’ai jamais été aussi sûr de moi... »

Je souriais et je lui volais un baiser. Je voulais la rassurer et lui montrer que je n’avais été contraint de quitter mon job de prof. Le fait qu’Ana fasse ces études me permettait de concrétiser un rêve que j’avais depuis longtemps, c’était le moment de me lancer.

« Oui on sera un couple tout à fait normal parmi tant d’autre. Plus besoin de faire attention et de se cacher... »

Je prolongeais le baiser d’Ana avant de la regarder en souriant. Je posais mon front contre le sien tout en passant délicatement mes mains sur le corps de ma chérie.

« Je sais que tu seras une mère formidable... Tu seras la mère de mes enfants et tu ne peux pas savoir à quel point cela peut me rendre fier »

Je souriais alors qu’Anastasia me disait qu’elle était fière de pouvoir être la mère des mes enfants.

« Je ne pouvais pas choisir une autre personne, tu m’étais destinée... »

Je souriais et je prolongeais langoureusement son baiser, tout heureux. Il était temps de me lever pour pouvoir aller voir mes parents. Ils allaient se poser des questions à force si l’on trainait trop longtemps au lit. Je gardais tout de même Anastasia dans mes bras et je souriais alors qu’elle me disait qu’elle n’avait pas envie de se lever non plus.

« J’aimerais bien aussi rester là avec toi... Mais il va falloir y aller... On se trouvera des petits moments rien que tous les deux »

Je comptais bien m’amuser avec Anastasia en douce. Je ne saurais pas tenir une journée sans être trop distant de la jeune femme. J’avais besoin d’être proche d’elle.

Nous allions prendre une douche rapide ensemble et pour une fois nous nous tenions bien. En même temps, nous venions de faire des folies et puis je pense que nous avions assez trainer ce matin. En descendant, je saluais mes parents tout en adressant un sourire à Ana qui était descendu juste avant moi. Après le petit déjeuner, je dus regarder Ana partir en virée shopping avec ma mère et ma sœur. J’aurais préférer la garder avec moi mais je n’avais pas trop le choix. Comme je n’avais rien à faire, je passais la journée avec mon père et mon frère a regarder les chaines sportives. Nous étions en plein match de foot quand les filles rentrèrent à la maison. Dès qu’Anastasia vint me rejoindre, je l’attirais sur mes genoux et je souriais alors qu’elle me volait un baiser. Je me sentais entier maintenant que je la tenais dans mes bras.

« Toi aussi tu m’as manqué... C’était long sans toi... Tu peux rester si tu veux.... »

Je n’allais pas abandonner mon frère et mon père avant la fin du match surtout qu’il ne restait plus trop longtemps avant la fin. Je regardais Anastasia, bien plus absorber par elle que par le match. Je déposais des baisers sur son cou, inspirant son odeur et cela me détendit instantanément.

« Tu t’es amusé ? »

Je souriais alors qu’Anastasia se tortillait sur moi. J’étais vraiment bien content qu’elle soit à nouveau là.

« Un gros interrogatoire ?... Je te l’avais dit que ça se passerait bien avec ma famille. Tu as acheté des choses que je vais aimer ? »

Je lui adressais un sourire amusé, espérant qu’elle aurait acheter des trucs pour le plaisir de mes yeux. Je la laissais me voler un baiser et elle posa sa tête sur mon épaule. Je la chouchoutais tendrement alors qu’elle me demandait comment ça c’était passé pour moi.

« Au début, je me suis senti abandonné alors je me faisais chier comme un rat mort. Ensuite mon père et mon frère m’ont proposer de regarder un match avec eux alors ça a passer beaucoup plus vite ensuite. Et maintenant, te voilà bébé ! »

Je lui adressais un sourire et je volais un baiser à la jeune femme. Je ne regardais plus trop le match, préférant m’occuper de ma chérie. Le match ne tarda pas trop à se terminer et je me levais en compagnie de ma chérie.

« Tu me montre tes achats ? »

« Elle voulait surement en savoir plus pour vérifier si nous étions sur la même longueur d’onde... Peut être ? J’espère qu’il y a des choses que j’aime »

Je finis par me lever quand le match se termina et Anastasia rigola quand je lui demandais de me montrer ces achats. Je dois dire que j’étais impatient de voir ça. Je prenais la direction de mon ancienne chambre avec Anastasia. Je prenais place sur le lit et je laissais Anastasia sortir ces achats. Je regardais attentivement, appréciant ce que je voyais. Je crois que l’on allait pouvoir passer des moments sympas quand elle porterait ça.

« Oui ça me plait beaucoup ! J’ai hâte de te voir la dedans mais tu vas rester un moment dans notre lit quand ça sera ça »

Je rigolais et j’attirais Anastasia vers moi. Je l’embrassais tendrement en posant mes mains sur elle.

« Tu m’as manqué aujourd’hui... »

« Je tiens toujours mes promesses... Et bien ça me plait, je suis totalement conquis »

Je souriais et j’attirais Anastasia dans le lit. Elle atterrit sur moi et je rigolais avant de l’embrasser. Je passais doucement mes mains sur elle tout en lui souriant.

« Tu vois je te l’avais dit que ma famille sera d’accord et que toute se passerait bien. Tu n’avais pas de raison de t’inquiéter. De toute façon, toute ma famille voit bien que je suis accro alors ils sont tous rassurer »

Je la regardais dans mes yeux et je souriais alors qu’elle venait de me voler un baiser. Je me sentais vraiment bien maintenant qu’elle était là, j’avais retrouver ma moitié.

« Et bien maintenant que tu es dans mes bras, tu n’es pas prête de partir... Je compte bien rattraper le temps que l’on a perdu quand nous n’étions pas ensemble... »

Je rigolais et je l’embrassais tendrement tout en inversant nos positions dans le lit.

« Ils seront tous rassurer à la fin de ce séjour en voyant que nous deux c’est du solide. Je peux comprendre qu’elles s’inquiètent mais je vais mettre les choses au clair comme ça tout le monde sera fixer »

Je lui souriais, je pouvais comprendre Anastasia n’ait pas du se sentir à l’aise en écoutant la conversation de ma mère et de ma sœur. Mais je devais faire de mon mieux pour arranger les choses. C’était un peu mon rôle après tout de montrer à tout le monde ce que je veux.

« Heureusement car je ne compte pas te laisser filer »

Je rigolais et je venais me placer au dessus d’elle. Je plongeais mon regard dans le sien et je souriais alors qu’elle passait ces jambes autour de ma taille. Je me frottais doucement à elle, laissant mon jeans mordre doucement sa peau. Je venais déposer des baisers sur son cou, le suçotant et le mordillant de temps à autre.

« Tu me rends dingue bébé... »

J’étais totalement accro à Anastasia et je ne pouvais pas me passer d’elle. Quand nous nous retrouvions seuls dans une pièce, celle ci se chargeait d’une sorte d’électricité.

« Comme tu veux, de toute façon c’est toi ou personne. Elles finiront pas le voir. »

Je me frottais doucement à elle, déposant des baisers sur son cou. Anastasia avait l’air d’avoir envie de moi elle aussi, ça devenait très excitant. Je prolongeais son baiser, en jouant avec sa langue. Je laissais Ana m’enlever mon t-shirt et je ne tardais pas à m’attaquer à ces vêtements. Elle m’avait manqué durant la journée et je n’avais qu’une envie c’était de ne faire qu’un avec elle. Je voulais la retrouver dans ce moment où rien d’autre ne compte à part nous. Rapidement nous nous retrouvions nus tous les deux, peau contre peau.

« Je t’aime bébé... »

Je l’embrassais tendrement puis je descendais mes baisers de son cou vers sa poitrine. J’avais envie de prendre mon temps, m’occupant au mieux de ma chérie.