Elle m’expliqua que son mec ne voulait pas coucher avec elle et qu’il n’aimait pas lorsqu’elle se montrait un peu trop sauvage. J’acquiesçais, me disant que j’avais tiré le gros lot avec celle-là, j’allais pouvoir la sauter à ma guise sans avoir à rendre de compte, elle ne cherchait que ça ! Je la laissais donc partir chez elle, retournant à mes petites occupations habituelles. Elle n’était rien de plus qu’une distraction pour moi et cela m’amusait de voir une fille aussi naïve.

Bref, je passais la journée à dormir avant de me lever et de retourner au club comme tous les soirs. La nouvelle était là et semblait bien s’adapter à son nouvel environnement, je la laissais faire connaissance avec ses collègues, allant m’installer comme à mon habitude dans mon coin. Je surveillais pour voir si la soirée se déroulait sans anicroches et on m’envoya Evelyn pour m’apporter ma boisson. «Bonsoir miss Valentine. Alors ce premier soir de travail te plaît ?»

Quand j’arrivais au club pour prendre mon poste, Nate n’était pas là. Je me doutais bien qu’il allait arriver beaucoup plus tard en même temps il faisait ce qu’il voulait c’était lui le patron. Je partais dans le vestiaire pour les employés, je me rendais à mon casier et je me changeais pour enfiler ma tenue pour bosser. C’était une jupe très courte rouge et du noir sur le coté avec un bustier rouge, des gants noirs, des jarretelles avec bas résille, un ras le cou rouge avec un sautoir noir fin, et un petit chapeau style haut de forme réduit à placer sur les cheveux. Cela faisait donc une tenue qui était sexy, je pense que ça attirait les clients en plus des tenues que les danseuses pouvaient porter. Bref, je me rendais au derrière le bar où je pris place. Je pris mes marques assez rapidement et je me mettais à préparer les commandes que les serveuses m’apportaient tout en servant des verres aux personnes présentes au bar. Au cours de la soirée, Nate fit son apparition et se rendit à sa table dans le coin du club. Je continuais mon service sans me soucier de rien quand l’une des filles vint me voir pour me dire d’apporter ça à la table du patron. Je prenais alors la commande et je me rendis à la table de Nate. Je posais la boisson sur sa table et je le regardais quand il s’adressa à moi.

« Bonsoir… Pour l’instant ça se passe bien, j’ai déjà pris mes marques. Je m’adapte vite. »

Tant que je répondais à ces questions, des jeunes femmes habillées comme des petites trainées firent leur apparition à la table de Nate. Je les regardais avant de reposer mon regard sur Nate.

« Je ne vais pas vous déranger plus longtemps, vous avez l’air occupé maintenant. Bonne soirée… »

Je fis demi-tour et je retournais bien vite vers le bar où je repris mon travail sans faire attention à ce que Nate faisait. Mais au court de la soirée, je ne pus m’empêcher de le voir entrain de s’amuser et de tripoter les stripteaseuses du club. Je soupirais en levant les yeux au ciel, décidément j’avais le don pour coucher avec des vrais connards. Je dois dire que Nate Darling était un vrai don juan et je m’en voulais d’être tomber dans ces filets comme une pauvre idiote. Maintenant il se fichait surement totalement de moi, je devais être une conquête de plus sur son tableau de chasse. Bref, le reste de la soirée continua sur la même foulée et je dois avouer que je regrettais d’avoir coucher avec lui. Quand j’eus fini mon travail, je me rendais sans m’occuper de personne vers les vestiaires. Tandis que j’allais commencer à retirer ma tenue de travail, l’une des filles vint me chercher en me disant que le patron voulait me voir tout de suite dans son bureau. Je soupirais et je me rendais dans le bureau de Nate. Je toquais à la porte puis j’entrais.

« Vous vouliez me parler ? »

Je regardais Evelyn m’apporter mon verre de whisky, je lui adressais un sourire, constatant avec joie que sa tenue lui allait à ravir. «Merci Evelyn…» Je la remerciais pour le verre qu’elle venait de me donner et je remarquais bien vite son regard sur les filles qui venaient de se joindre à ma table. Je la laissais repartir faire son boulot, discutant avec les filles avant de les envoyer travailler, il s’agissait de mes danseuses et j’aimais bien leur payer un verre avant le show.

En milieu de soirée, je décidais de m’amuser un peu moi aussi, tout le monde dansais et je rejoignais quelques unes de mes danseuses, dansant avec elle. J’adorais faire la fête et je ne m’en privais donc pas, mais bien vite les affaires se rappelèrent à moi et je me retirais dans mon bureau pour m’occuper de la paperasse. Je demandais à Brittany d’aller me chercher Evelyn, elle avait terminé son service et je voulais un compte rendu de sa journée, histoire de voir si elle appréciait de bosser ici. J’étais plongé dans mes papiers lorsqu’elle fit son entrée et je levais le nez lorsqu’elle se mit à parler. «Hum oui, ferme la porte s’il te plaît… Je voulais savoir comment tu avais perçu ta journée de boulot et si tu ne regrettais pas ton choix.» Je me levais pour venir m’asseoir sur le bord de mon bureau et la regardais alors qu’elle restait debout. Elle ne voulait pas s’asseoir et bien tant pis, j’allais procéder autrement. Je l’attirais doucement à moi, posant mes mains sur ses hanches et la regardant dans les yeux. «En tout cas, je n’aurais pas imaginé à quel point ce petit uniforme te mettrait en valeur… » Je la regardais dans les yeux, descendant mes mains sur ses fesses et la serrant doucement contre moi, elle était tout à fait bandante dans cette robe et je mourrais d’envie de la lui enlever.

Alors que j’entrais dans le bureau, Nate me demanda de fermer la porte derrière moi. Il me demanda ensuite comment j’avais perçu ma première journée de boulot et si je ne regrettais pas mon choix.

« Tout c’est bien passé, j’ai pris mes marques et les filles qui bossent avec moi sont sympa. Je ne regrette pas mon choix »

Nate m’écouta tout en venant s’asseoir sur le bord de son bureau, de mon coté je ne bougeais pas. Je n’avais pas très envie de retomber dans ces filets comme ça alors qu’il se fichait de moi et qu’il s’amusait avec tout ce qui bouger. Mais rapidement il m’attira vers lui et posa ces mains sur mes hanches. Je le regardais dans les yeux alors qu’il me disait qu’il n’aurait pas imaginé à quel point ce petit uniforme me mettait en valeur.

« C’est gentil, au moins maintenant vous pouvez imaginer. Et puis toutes les filles portent ça alors ça ne me va pas mieux qu’à une autre.»

Nate me regardais dans les yeux tout en descendant ces mains sur mes fesses, me serrant contre lui par la même occasion. Je posais mes mains sur les siennes et je les posais à un endroit plus neutre.

« Plus haut les mains, je ne suis pas à vous alors les mains vous les posez ailleurs. »

S’il croyait que j’allais être à lui parce qu’il avait couché avec moi, il se mettait le doigt dans l’œil. Je le regardais et je voyais bien qu’il n’avait pas l’intention de me lâcher aussi facilement.

« Il y a d’autres filles que moi qui rêveraient d’être à ma place en ce moment, et je veux bien leur céder volontiers ma place. Vos copines de tout à l’heure feraient très bien l’affaire je suis sûre. »

Je l’écoutais me dire qu’elle était contente de son travail et je me disais qu’au fond j’avais bien fait de l’embaucher. Je l’attirais à moi, lui posant mes mains sur les fesses, mais elle les remonta en me disant de les mettre plus haut et qu’elle n’était pas à moi. Je haussais les sourcils avant de lui répondre. «Tu étais moins farouche hier… » Elle ajouta alors qu’elle laisserait volontiers la place à mes copines de tout à l’heure, ah voilà donc la pointe de jalousie. Je lui adressais un sourire avant de lui répondre. «Mes amies de tout à l’heure sont les danseuses du club et j’ai pris pour habitude de leur offrir un verre avant le début de soirée…Et elles sont toutes refaites de la tête au pied, ce que je n’aime pas du tout.» Je la regardais, descendant doucement à nouveau mes mains avec une lenteur exagérée.

«Je préfère les filles naturelles et je pense que toi aussi tu as envie de faire l’amour avec moi. C’est simplement ta jalousie qui l’a emporté… Quand je couche avec une femme, je ne vais pas voir ailleurs, nous ne sommes pas un couple, simplement je préfère me contenter d’une partenaire durant un labs de temps. On pourrait être simplement un patron et une employée se faisant du bien mutuellement sans aucune arrière pensée…» Je déposais de légers baisers sur son cou, glissant mes mains sur sa jupe minimaliste et faisais descendre le string qu’elle portait pour venir la caresser avec une envie non dissimulée. Je sentais qu’elle réagissait à mes caresses mais elle était encore furieuse et je le voyais dans ses yeux. «Laisse toi faire, je te promets que ce sera encore meilleur qu’hier…Et je crois savoir que tu as apprécié hier soir.»

Nate me dit que j’étais moins farouche hier, il avait peut-être raison mais hier je ne m’étais pas encore rendu compte qu’il était un véritable salaud. Alors que je lui disais en gros qu’il ferait mieux d’aller voir ces copines de tout à l’heure, Nate se mit à sourire avant de m’expliquer qu’il payait toujours un verre à ces danseuses en début de soirée. Il me dit qu’il n’aimait pas les filles toutes refaites avant de me dire qu’il préférait les filles naturelles tout en descendant très lentement ces mains. Par contre je lui lançais un regard noir quand il me dit que c’était ma jalousie qui parler. Il me prenait pour qui lui, genre je suis jalouse il croit que je suis amoureuse ou quoi. Nate mit hors de moi quand il me rappela que l’on n’était pas en couple et qu’il faisait cela que durant une période. Il me prend pour qui lui, il croit vraiment que je suis accro à lui peut être et en plus il ose me faire comprendre que lorsqu’il en aurait marre il arrêterait avec moi. Nate me dit que nous pourrions juste passer du bon temps ensemble sans arrière-pensée. Il déposa des baisers sur mon cou en faisant glisser mon string.

« Je ne suis pas jalouse et je me fiche carrément de vous, je n’ai pas envie d’être en couple avec un type comme vous ! »

Nate se mit tout même à me caresser, me faisant comprendre ce qu’il voulait. Il espérait surement que je me calme. Nate me dit de me laisser et il me promit que ce serait encore meilleur qu’hier. Je tentais de résister mais bien vite il réussit à me faire craquer. Je finis par m’abandonner dans ces bras, le laissant faire ce qu’il voulait de moi. Je savais qu’après que je regretterais d’avoir était aussi stupide de coucher avec lui, je n’étais qu’un jouet pour lui. A croire qu’il m’avait embauché pour mon cul.

Elle me claqua à la tête qu’elle n’était pas jalouse et qu’elle ne voulait pas être en couple avec un type comme moi.Si elle pensait me blesser, elle se fourrait le doigt dans l’œil. «Et bien tant mieux ça m’arrange !Parce que je n’ai pas la moindre envie de me mettre en couple. » Je lui adressais un sourire, tout en lui faisant descendre son string et commençant à la caresser pour la faire craquer. Si elle se montra assez furieuse au début, elle finit par se laisser convaincre par mes caresses et s’abandonna totalement dans mes bras. Je la soulevais et venais la poser sur le sofa, je lui adressais un sourire tout en lui enlevant son chapeau que je jetais sur la table basse avant de m’attaquer à défaire son corsage. Une fois ouvert, je venais l’embrasser dans le cou puis descendais sur sa poitrine que je taquinais avec douceur, continuant de passer ma main sur son intimité. La demoiselle semblait se laisser complètement faire et aimer ce que j’étais en train de lui faire. Je remontais à son oreille pour lui chuchoter. «Et si cette fois tu prenais les choses en main ?» Je la regardais, nous redressant en position assise, la faisant asseoir sur moi, désireux de la laisser prendre les commandes pour la suite.

Nate me répondit que cela l’arranger que je ne veuille pas me mettre en couple avec lui car il n’avait pas envie de s’engager. Alors que je m’abandonnais dans ces bras, Nate me souleva et m’amena au sofa. Il retira mon chapeau puis il se mit à défaire mon corsage avant de déposer des baisers sur mon cou. Je soupirais d’aise alors qu’il me taquinait ma poitrine tout en me caressant. Nate vint me proposer à l’oreille de prendre les choses en main, j’esquissais un sourire alors qu’il se redressait en position assise.

« Comme tu voudras… »

Je me retrouvais assise sur lui et je prenais donc les choses en main. Je lui déboutonnais sa chemise avant de la lui retirer, je me mis alors à déposer de petits baisers sur son cou. Je descendais doucement mes baisers tout en me laissant glisser entre les jambes de Nate. Je le regardais d’un air coquin tout en déboutonnant son jeans. Je lui retirais en même temps que son boxer puis je m’occupais de lui comme je savais le faire. Je pense qu’il allait apprécier ce que je lui faisais. Je m’appliquais allant jusqu’au bout, je dégluti puis je remontais sur lui. Je me mis à onduler sur lui alors que nous étions nus tout les deux et je me mis à l’embrasser langoureusement. C’est alors que je le fis entrer en moi. Je bougeais alors le bassin en exécutant des mouvements de vas et viens au rythme que je voulais. Comme à chaque fois, je prenais totalement mon pied. Je gémissais tout en me cambrant sous l’effet du plaisir tout en sentant ces mains se baladaient sur mon corps. Je finis par atteindre le plaisir ultime dans un cri rauque puis je continuais jusqu’à ce qu’il vienne en moi. Je séparais nos corps mais je restais tout de même sur lui. Je reprenais mon souffle mais je tentais également de me détendre car je tremblais encore de plaisir. Je le regardais en passant mes mains doucement sur son torse.

« Alors tu as aimé ?.... »

J’esquissais un sourire et je posais ma tête sur son épaule en fermant les yeux afin de me détendre. Mais je n’avais pas envie d’en rester là, pourquoi ne pas recommencer ? Je décidais de changer de position pour cette fois ci, je restais sur Nate sauf que je me penchais en arrière pour poser mon dos contre son torse. Je le fis de nouveau entrée en moi puis je mettais la tête en arrière, la posant ainsi sur l’épaule de mon partenaire. Il m’accompagna dans les mouvements de vas et viens et en plus de cela Nate passait ces mains sur moi. Je gémissais alors face au plaisir que je ressentais quand soudain la porte du bureau s’ouvrit. Je me redressais rapidement et je vis alors Brad sur le seuil de la porte. Je séparais mon corps de celui de Nate et je me mis sur le coté. Je pris le plaid qui trainait sur le sofa pour me couvrir moi et Nate.

« Qu’est ce que tu fais là ?... Je… »

Nate, à coté de moi, était entrain de rire de la situation. Je lui donnais alors un coup de coude pour qu’il arrête.

Je demandais à la demoiselle de prendre les choses en main et je ne regrettais pas mon choix. Elle s’occupa de moi à merveille et je dois dire que j’appréciais assez cela, en plus elle était douée alors que demander de plus ? Je la laissais ensuite assembler nos deux corps, bougeant moi aussi le bassin pour l’aider à aller plus profondément et soupirais de plaisir. Elle était vraiment très douée et elle faisait à son idée, selon son envie et visiblement elle adorait ça. Je finis par venir en elle dans un soupir de plaisir et l’embrassais langoureusement, lui caressant le dos pour la détendre. Elle me demanda alors si cela m’avait plu et je lui renvoyais son sourire. «Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai aimé ça… Je devrais te laisser les commandes plus souvent….t’es vraiment douée pour ça.»

C’est alors qu’elle changea de position, me tournant le dos, mais elle assembla nos deux corps et colla son dos contre mon torse. Je pouvais alors la toucher à loisir, lui taquinant sa poitrine d’une main et caressant son intimité de l’autre tout en l’embrassant dans le cou. Elle gémissait de plus en plus fort et je me rendais compte qu’elle prenait beaucoup plus de plaisir que la veille, je continuais, me montrant plus insistant jusqu’à ce que la porte s’ouvre. Je la laissais se retirer de moi et s’asseoir à mes côtés, toisant son ex en riant légèrement, il n’y avait pas mieux comme situation débile. Je me pris un coup de coude dans les côtes de la part d’Evy et je la regardais avant de reporter mon attention sur son mec qui avait l’air furieux. «Eh mec t’avais qu’à t’occuper un peu d’elle avant…Viens pas pleurer parce qu’elle se fait sauter par un autre que toi.» Je le regardais, étant complètement détendu, bien que frustré d’avoir été interrompu de la sorte. «Maintenant dégage, j’aimerais pouvoir terminer ce qu’on a commencé !»

Je mis un coup de coude à Nate qui me regarda avant de reporter son attention sur mon petit ami. Nate lui claqua qu’il avait qu’à s’occuper de moi et qu’il ne devait pas pleurer si je me faisais sauter par un autre. Je ne savais pas quoi dire sur ce coup, je les regardais simultanément et je me rendis compte que Brad était entrain de s’énerver. Nate en rajouta encore une couche en lui disant de dégager car il aimerait terminer ce que l’on avait commencé. Je décidais tout de même de prendre la parole pour essayer de calmer le jeu.

« Brad, je … »

Je n’eus même pas le temps de continuer ma phrase que Brad me coupa la parole. Il me parla alors méchamment en me disant que je n’étais rien qu’une petite trainée qui montrait son cul partout. Il ajouta que je ne savais rien faire d’autre que de me faire sauter par tout le monde pour garder un job car je ne savais rien faire d’autre. Et pour finir, il ajouta que c’était fini entre nous et qu’il était sûr qu’un jour il me retrouverait sur le trottoir pour gagner ma vie vu ce que je faisais. J’étais blessé par ce qu’il me disait et je sentais les larmes montaient. Vu ce qu’il pouvait penser de moi, je me rendais compte qu’il ne me connaissait même pas. Il ne s’était jamais soucier de moi et maintenant il me disait toutes ces choses horribles. Je ne savais pas quoi dire et les larmes se mettaient à couler sur mes joues d’elle-même. Soudain Brad s’adressa à Nate en lui disant qu’il allait lui faire la peau. Brad se jeta sur Nate et se mit à le frapper. Je me tentais de le faire arrêter mais Brad me repoussa violement en me disant « Toi la trainée dégage ! ». Tout ce qui arrivait était de ma faute et je m’en voulais, je faisais du mal à Brad et j’attirais des ennuis à mon patron.

Son mec était là et bien entendu, la situation dérapa rapidement. Il parlait très mal à la jeune femme et je n’appréciais pas du tout son comportement envers elle. Je ne disais rien, la regardant alors se mettre à pleurer, après tout c’était normal qu’elle pleure après ce qu’il venait de lui dire. Il se tourna alors vers moi en me disant qu’il allait me faire la peau. Je le laissais me frapper si cela pouvait lui faire plaisir mais je me mis à grogner lorsqu’il s’en prit à la jeune femme. Je le repoussais rapidement, avant de lui coller mon poing dans la figure, il semblait assommé et j’enfilais rapidement mon jeans avant de le jeter en dehors de mon bureau. Je faisais signe aux videurs de le faire sortir et refermais la porte de mon bureau à clé cette fois avant de m’approcher de la jeune femme. «Est-ce que ça va ? » Je lui essuyais ses larmes, la regardant dans les yeux. «N’écoute pas ce qu’il dit, il est simplement jaloux du fait qu’on a couché ensemble… Tu es très jolie et tu n’es pas une traînée. C’est de ma faute ce qu’il t’arrive et j’en suis désolé.» Je la regardais, n’ayant pas envie de la voir pleurer plus longtemps, je n’aimais pas voir les femmes pleurer.

Quand Brad me repoussa violement, Nate se mit en colère et frappa Brad. Je ne m’inquiétais même pas pour Brad, j’étais encore sous le choc des mots qu’il avait proférer à mon égard. Nate enfila son jeans et jeta Brad hors du bureau en demandant à ces videurs de le faire sortir. Nate ferma son bureau à clé et s’approcha de moi. Je levais les yeux vers lui alors qu’il me demandait si ça allait, je lui fis signe que non. Il se mit à essuyer mes larmes en me regardant dans les yeux. Nate me disait de ne pas l’écouter car c’était la jalousie qui lui avait fait dire cela. Nate tenta de me remonter le moral en me disant que j’étais belle et que je n’étais pas une trainée. Il en vint même à dire que tout cela était de sa faute et qu’il était désolé. Je tentais de me calmer et de stopper mes pleurs. Je regardais Nate et je posais mes mains sur les siennes.

« Ce n’est pas de ta faute, tu n’as pas à t’excuser. C’est moi le centre du problème, à cause de moi… Tout le monde a des problèmes. C’est plutôt à moi de m’excuser de l’embêtement que j’ai causé… »

Je n’en revenais pas que Nate puisse se montrer aussi gentil vis-à-vis de moi. Il tentait de me remonter le moral et de détruire les arguments que Brad avait lancés sur moi. C’est dans les moments où je me sens mal que je voudrais avoir ma sœur à mes cotés. Hors elle m’avait abandonnée il y a quelques années sans rien me dire. Enfin bref, je venais me placer dans les bras de Nate. J’avais besoin de ça pour me détendre et me remettre de ce qu’il venait de se passer. J’avais besoin d’un instant de tendresse tant pis si je le mettais mal à l’aise.

« Je suis désolée… »

Je m’excusais encore du problème que j’avais attiré ici à cause de Brad. Maintenant, je me retrouvais de nouveau seule et je dois dire que je n’arrivais pas encore bien à réaliser.

Depuis cet incident, trois semaines s’étaient écoulée. Je n’avais pas revue Brad et je m’étais enfin remise de la rupture. Nate m’avait en quelque sorte aidé à penser à autre chose qu’à ma rupture en me donnant sa carte de crédit pour faire du shopping à volonté. Je dois dire que j’étais assez contente de pouvoir acheter tout ce que je voulais. Nate venait même avec moi faire du shopping car il s’amusait à me trouver des tenues ou des sous vêtements sexy qu’il voudrait me voir porter. Il arrivait parfois que Nate libère le magasin pour que nous soyons les seuls clients, et ce fut le cas aujourd’hui. Nous avions le magasin pour nous et je me mettais à chercher des petites tenues et des sous vêtements qui plairaient au jeune homme. Je partis vers le lieu des essayages qui était une sorte de petit salon. Devant la cabine, il y avait une banquette où Nate s’était installé. Il fit renvoyer les employés hors du petit salon afin que nous soyons seuls pour les essayages. J’entrais alors dans la cabine et j’enfilais des sous vêtements sexy. C’était un soutien gorge noir et rouge avec un string assorti, un léger voilage noir venant se mettre par-dessus. Je sortais de la cabine en prenant une pause sexy et je regardais la réaction de Nate pour voir si cela lui plaisait. J’esquissais un sourire et je venais me mettre à califourchon sur lui en passant mes mains autour de son cou. Je le regardais dans les yeux en souriant, me collant doucement contre lui.

« Tu aimes ? »

Evelyn avait rompu avec son petit ami, non sans douleur mais au moins elle était pleinement à moi maintenant. Depuis trois semaines, nous couchions ensemble presque chaque soir après son service et je dois dire que je commençais à apprécier sa présence. J’étais resté avec elle bien plus longtemps qu’avec toutes les autres mais elle n’avait pas besoin de le savoir maintenant. Bref, je lui avais donné ma carte de crédit pour qu’elle se paie des cadeaux, enfin des choses qui me plaisaient parce que je devais avouer que plusieurs de ses dessous n’avaient pas survécu à mon passage.

Aujourd’hui nous nous rendions dans une boutique de sous-vêtements et je décidais d’accompagne la demoiselle pour juger de ce qu’elle achetait. Je demandais alors à la vendeuse de faire fermer le magasin le temps que nous étions à l’intérieur, j’étais un Darling et personne ne me refusait rien. Je n’avais pas envie d’être pris en photo par un paparazzi alors que nous n’étions pas un couple. J’arpentais les allées avec ma jeune compagne et choisissais au fur et à mesure des tenues qui pourraient lui aller ou me plaire. Nous allions ensuite dans le salon d’essayage et je renvoyais les employées devenues trop gênantes. Je laissais Evelyn se changer, attendant patiemment qu’elle en sorte. Lorsqu’elle revint, je ne pouvais dire à quel point elle était à croquer là-dedans. Je la laissais s’asseoir à califourchon sur moi, passant mes mains sur elle tout en la laissant se coller à moi. «Bien sûr que j’aime, j’adore même…Mais je ne suis pas sûr que tu le gardes longtemps sur toi. Promis cette fois j’essaierais de ne pas te l’arracher. » Je l’embrassais doucement dans le cou, passant mes mains sur ses fesses avant de les remonter sur ses seins. Je ne regardais pas à la dépense pour elle, après tout j’avais une sacrée fortune sur mon compte alors elle pouvait bien acheter tout ce qu’elle désirait. «On va le prendre et si tu essayais les autre pour voir ? Je suis certains qu’on va bien en trouver d’autres qui te vont tout aussi bien et que tu pourras ramener chez toi… » Je lui repoussais les cheveux derrière son dos, descendant mes baisers le long de son cou jusqu’à la naissance de sa poitrine, passant ma langue dessus pour lui donner un avant goût de ce qui l’attendait ensuite.

Nate me dit qu’il appréciait ma tenue et qu’il n’était pas sûr que je la garde longtemps. Toutefois, il me promit qu’il ne l’arracherait pas. Je dois dire que depuis que je le connaissais, il avait arraché une bonne partie de mes sous vêtements le sauvageon. Mais bon, je n’allais pas me plaindre. J’aimais passer du temps avec lui et je dois dire que je devais être une rare employée qui avait envie d’aller au boulot pour voir son patron. Je commençais à m’attacher d’une certaine manière à lui, mais je ne pouvais pas encore dire si j’étais amoureuse ou non de lui. Il était très attirant et je savais que j’avais de la chance qu’il s’intéresse à une fille comme moi. Enfin bref, je me mis à soupirer d’aise alors qu’il m’embrassait dans le cou tout en passant ces mains sur mes fesses puis sur mes seins. Nate me dit que l’on prenait cet ensemble mais que je devrais en essayer d’autre. Je me laissais totalement faire alors qu’il repoussait mes cheveux dans mon dos en descendant ces baisers le long de mon cou jusqu’à ma poitrine. Je soupirais d’aise comprenant son message, je le regardais en souriant puis je retournais à la cabine d’essayage. J’enfilais plusieurs ensembles que je montrais à Nate, ils avaient l’air de lui plaire et j’en étais bien contente. Alors que j’étais entrain d’enfilé un énième ensemble, Nate entra dans la cabine et il passa ces bras autour de moi. Je posais mon dos contre son torse et j’attirais son visage vers le mien. Je l’embrassais langoureusement avant de me retourner vers lui.

« Alors tu es pressé aujourd’hui… Trop pressé pour attendre ce soir ?... »

Je lui ouvrais doucement sa chemise en l’embrassant, je passais mes mains sur son torse les descendant jusqu’à lui déboutonner son jeans. Je passais ma main à son boxer et je pus sentir l’effet que je lui faisais. Je lui caressais l’intimité avec douceur pour lui donner envie de moi, je dois dire que j’avais encore et toujours envie de faire l’amoura avec lui. Je déposais des baisers sur son cou en me collant à lui et ne cessant de le caresser. Je remontais mes lèvres près de son oreille pour lui chuchoter des choses.

« Fais ce que tu veux de moi, je suis toute à toi… »

Je rigolais légèrement, j’étais prête à céder à toutes ces demandes.

Je laissais la demoiselle retourner dans la cabine et enfiler d’autres modèles qui me plaisaient tout autant que le premier, je lui donnais à chaque fois mon opinion. Lorsqu’elle enfila le dernier, elle vint s’installer sur moi et je lui adressais un sourire, posant mes mains sur elle. Mais elle me fila entre les doigts à nouveau, je soupirais, elle avait vraiment décidé de me faire enrager. Je me levais donc et la rejoignais derrière le rideau, passant mes bras autour d’elle, collant mon torse contre son dos et l’embrassant dans le cou. Je prolongeais ensuite son baiser, la laissant se tourner vers moi.

« Tu ne peux pas savoir à quel point, je dois dire que toute cette dentelle m’a donné une folle envie de te faire l’amour….là tout de suite. »

Je la laissais m’ouvrir ma chemise et passer ses mains dans mon boxer, j’avais déjà une belle érection et elle ne mettrait pas longtemps avant de juger de l’ampleur de mon envie. Je l’embrassais langoureusement, passant mes mains sur sa poitrine afin de lui donner envie de faire l’amour avec moi. Elle me chuchota alors que je pouvais faire ce que je voulais d’elle et qu’elle était tout à moi.

« Vraiment?! Tout ce que je veux….Je te veux toute entière, là maintenant… » Je l’embrassais avec fougue, lui enlevant son string devenu trop gênant, je ne prenais pas non plus la peine de la préparer à ce qui l’attendait, la soulevant et l’adossant au mur. J’entrais en elle avec vigueur, entamant rapidement des vas et viens langoureux afin de lui faire atteindre rapidement le plaisir ultime, d’ailleurs je comptais bien la faire gémir jusqu’à ce qu'elle n'en puisse plus.